Quand le progressisme devient une pathologie remboursée

Une épidémie silencieuse enfin diagnostiquée

C’est officiel, camarades : le gauchisme vient d’être classé par l’État comme une maladie mentale, suite à la manifestation du 8 mars 2025 et au spectacle offert par les Femen lors de cette journée internationale des droits des femmes, au même titre que la phobie des araignées ou l’addiction aux selfies.
Après des années de débats stériles sur les plateaux télé, où les concernés hurlaient leur amour de l’égalité tout en commandant un latte à 8 euros, les autorités ont tranché.
« Trop, c’est trop », a déclaré un ministre anonyme, visiblement fatigué de voir des manifs bloquer son Uber.
Désormais, les symptômes – indignations chroniques, obsession pour Cyril Hanouna et Vincent Bolloré et tendance à voir du fascisme dans une baguette mal cuite – seront pris en charge par la Sécu.

🚨 🇫🇷 Lors de la manifestation du 8 mars, l’Action des FEMEN a provoqué une polémique en criant « Heil Donald Trump », tout en faisant des gestes évoquant le nazisme !

pic.twitter.com/aiZEimlPDd

— Wolf 🐺 (@PsyGuy007) March 8, 2025

Un traitement à base de réalité et d’humour

Le protocole thérapeutique ?
Simple, mais audacieux. Les patients diagnostiqués devront suivre une cure intensive de « retour au réel » : trois heures quotidiennes d’écoute de podcasts de droite, une formation accélérée au barbecue (pour réapprendre la joie simple de manger de la viande sans culpabiliser), et une thérapie de groupe où l’on débattra de la question cruciale :

Est-ce que Karl Marx avait vraiment un plan B ?

Les plus atteints, ceux qui citent encore Bourdieu en soirée, bénéficieront d’une ordonnance spéciale : un stage chez un agriculteur breton, histoire de redécouvrir la terre sans filtre Instagram ou une formation de chroniqueur dans l’émission TPMP de Cyril Hanouna pour remplacer prochainement le stagiaire actuel, Thomas Guénolé, qui commence à montrer des marques de rémission à la maladie au fil des émissions.

Les mutuelles sautent sur l’occasion

Évidemment, les mutuelles se frottent les mains. « On rembourse déjà les séances de yoga pour cadres stressés, alors pourquoi pas les gauchistes en burn-out idéologique ? », s’enthousiasme un assureur.

Une hotline dédiée verra bientôt le jour :

Allô, j’ai retweeté un thread sur le privilège blanc, est-ce grave ?

Réponse :

Oui, mais on a un générique pour ça.

Les laboratoires pharmaceutiques planchent déjà sur un comprimé miracle, le « Doxapram », censé dissoudre les certitudes militantes en moins de 48 heures.
Effets secondaires possibles : une soudaine envie de voter pour un parti qui ne promet pas la lune ou de regarder l’émission TPMP sur Youtube.

Une société guérie, ou presque

Reste une question : qui financera cette révolution thérapeutique ?
Les contribuables, bien sûr !
Ironie suprême, les gauchistes soignés pourraient finir par râler contre les impôts qui les ont sauvés.
En attendant, les réseaux sociaux s’enflamment déjà : certains crient au scandale, d’autres proposent d’étendre le diagnostic au libéralisme ou au fanatisme des séries Netflix.

Une chose est sûre : entre rires et ordonnances, cette « maladie » promet de secouer les prochaines élections.

À vos bulletins… ou à vos pilules !

Ceci est bien évidemment une parodie et un billet d'humour. 
Retrouvez ma rubrique😂Humour Bac+3 de gros lourd (même promo que Jean-Michel Maire) ici !