X attaqué par les Russes sous commande de l’Arcom pour me faire taire : ma révélation trop dangereuse pour le pouvoir ?
Le plan machiavélique du président : une censure déguisée en cyberattaque ?
Une information qui frôle l’invraisemblable, mais que mes sources les plus sûres confirment avec un sérieux glaçant.
À force de scruter les rouages dissimulés derrière les rideaux de la haute sphère, il semble que mon analyse, perçante et dérangeante, ait franchi des seuils qu’elle n’aurait jamais dû atteindre.
Le plan présidentiel en trois étapes que j’ai révélé hier aurait provoqué une onde de choc si violente que ses architectes, dans un ultime sursaut d’autorité, auraient choisi de frapper fort. Mais pas frontalement.
Trop risqué. Trop voyant.
Envoyer des men in gray dans une camionnette noire sans plaques pour me kidnapper ? Pas assez discret !
Plutôt une manœuvre sournoise, une attaque où la main qui frappe reste cachée sous les plis d’un rideau d’État.
Cyber-guerre en coulisse : la main invisible frappe à midi
Selon des sources anonymes, une faction de pirates informatiques russes aurait été discrètement missionnée pour éteindre la voix trop claire, trop libre.
Leur cible ? Les serveurs d’Elon Musk en France.
Une première attaque vers 10h30, testant la vulnérabilité du réseau, un premier coup d’échecs sur l’échiquier du contrôle numérique.
Ecran noir ! X tourne dans le vide ! Une partie du monde attaquée s’arrête de tourner.

À 14h50, la seconde frappe.
Brutale, chirurgicale. X paralysé, les internautes plongés dans le silence.
Tout cela ne serait que le premier mouvement d’un plan d’une ambition froide et implacable.
Une censure d’État sous couvert d’urgence numérique
Derrière cette attaque, un jeu plus subtil encore se dessine.
Une source gouvernementale me l’a confié sous le sceau de l’indicible : l’Arcom aurait obtenu une dérogation exceptionnelle pour superviser cette opération.
L’objectif dépasse largement ma propre mise au silence.
Il s’agirait d’un test grandeur nature, une répétition technique et stratégique visant à mesurer la capacité à fermer le réseau X en moins de cinq minutes, sur tout le territoire.
Une fois ce pouvoir démontré, il ne resterait plus qu’à activer la seconde phase du plan présidentiel, celle dont j’ai levé le voile hier et qui fait trembler la webosphère.
Si vous lisez ces lignes, c’est que je profite d’un court répit entre deux attaques DDoS.
Le prochain assaut viendra, la troisième frappe, celle qui nettoiera toute trace de cet article.
À vous de le diffuser. Tant qu’il en est encore temps.
Ceci est bien évidemment une parodie et un billet d'humour. Retrouvez ma rubrique😂Humour Bac+3 de gros lourd (même promo que Jean-Michel Maire) ici !