X sous le feu des censeurs : qui veut bâillonner la liberté en France ?

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Les masques tombent : les croisés de la régulation contre X

Un vent autoritaire souffle sur Paris

La France, ce pays qui se gargarise de Voltaire et brandit la liberté d’expression comme un étendard, semble prête à plier l’échine devant une clique bien décidée à museler X.

Depuis des mois, les signaux s’accumulent, et le tableau se dessine : derrière les discours policés sur la « protection du débat public », une poignée de technocrates, politiciens et régulateurs veulent mettre au pas la plateforme d’Elon Musk.
Pourquoi ?
Parce que X échappe à leur contrôle, et ça, ils ne le digèrent pas.
Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères, a lâché le morceau récemment : il n’exclut pas d’interdire X si l’Union européenne ne parvient pas à mater ce trublion numérique…

L’ARCOM, bras armé d’une censure déguisée

Et qui retrouve-t-on dans cette chasse aux sorcières ?
L’ARCOM, bien sûr (encore une fois).
Cette autorité, censée veiller sur l’audiovisuel et le numérique, s’est déjà illustrée en éteignant C8 de la TNT, un précédent qui glace le sang.
Officiellement, il s’agit de « réguler ».
Dans les faits, c’est une machine à broyer tout ce qui dérange.

Avec X dans le viseur, l’ARCOM pourrait jouer les exécutants zélés d’une politique plus large, portée par un gouvernement Macron qui n’aime rien tant que les récits bien alignés.
Les rumeurs circulent : des insiders murmurent que l’ARCOM rêve d’un prétexte pour serrer la vis aux réseaux sociaux, X en tête.
Les preuves ? Elles viendront, ou pas. Peu importe, le flou suffit à justifier l’action.

L’Europe et ses apôtres de la pensée unique

Zoom arrière : l’Union européenne n’est pas en reste.
Le Digital Services Act (DSA) donne des armes aux bureaucrates pour traquer les « contenus illicites » et la « désinformation ».
Thierry Breton, ex-commissaire au Numérique, a longtemps incarné cette croisade, et son ombre plane encore.

À Bruxelles, on reproche à X de laisser trop de place aux voix dissidentes, aux complotistes, mais aussi aux citoyens lambda qui osent penser hors des clous.
La France, bonne élève, pousse le bouchon plus loin : Barrot parle carrément de souveraineté nationale pour bannir X si l’UE traîne des pieds.
Traduction : Paris veut son propre bâillon, merci bien.

Musk, l’épouvantail qui dérange

Au cœur de ce psychodrame, il y a Elon Musk. Milliardaire excentrique, il est devenu l’homme à abattre pour les élites françaises et européennes.
On l’accuse de tout : ingérence, soutien à l’extrême droite, chaos numérique. X, sous sa coupe, serait un Far West où prospèrent les haines et les fake news.
Vraiment ? Ou juste un miroir trop honnête des fractures d’une société qu’on préfèrerait voir lissée ?
Les chiffres parlent : la France excelle dans la censure des contenus « violents » sur X, selon les rapports européens.

Mais qui décide ce qui est « violent » ?
Les mêmes qui veulent interdire.

La liberté en sursis

Alors, qui veut museler X ?
Un cocktail explosif : un gouvernement Macron qui craint les débats incontrôlés, une ARCOM aux ordres, une UE obsédée par l’harmonie, et des bien-pensants terrifiés par Musk.

Face à eux, X reste cet espace où les masques tombent, où les vérités crues s’entrechoquent.
Interdire X, ce serait couper une langue qui refuse de se taire.
Et ça, ça pue l’autoritarisme à plein nez. À vous de juger : jusqu’où ira cette traque ?

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