Dans la tĂȘte de Macron : un prĂ©sident qui plie pour ne pas rompre ?
Quâest-ce qui se trame dans le cerveau dâEmmanuel Macron, cet homme qui transforme la France en paillasson diplomatique face Ă lâAlgĂ©rie ? On pourrait presque entendre les rouages : Ă©viter le clash, prĂ©server le gaz, flatter son ego de grand rĂ©conciliateur.
Les accords de 1968, ce vieux parchemin qui donne aux AlgĂ©riens un passe-droit sur le sol français, il nây touche pas.
Pourquoi ? Parce que le gaz algérien chauffe nos radiateurs depuis que Poutine a fermé le robinet, pardi !
Et puis, il y a cette obsession de lâimage : Monsieur a dit « crime contre lâhumanité » en 2017, alors il ne va pas se dĂ©dire en claquant la porte Ă Tebboune.
Résultat ? Il temporise, il dialogue, il capitule.
Pendant ce temps, les OQTF sâentassent, et Mulhouse pleure. StratĂ©gie ou faiblesse ?
à vous de juger, mais le tapis rouge est bien déroulé.
Bayrou et Retailleau : les dindons de la farce
Et les ministres dans tout ça ?
Bayrou, le Premier ministre en sursis, avait joué les gros bras avec son ultimatum de « quatre à six semaines ». Raté.
Macron lâa dĂ©savouĂ©, et le voilĂ qui bredouille des excuses sur un « audit interministĂ©riel ».
Pathétique.
Retailleau, lui, le flic de lâIntĂ©rieur, voulait cogner fort : finis les accords, basta les visas.
Mais le prĂ©sident lâa mouchĂ©, et il fulmine.
Imaginez la scĂšne : Retailleau qui claque la porte en hurlant « souverainetĂ© trahie ! », Bayrou qui tente de recoller les morceaux avec un sourire gĂȘnĂ©. Macron, lui, regarde ailleurs, un cafĂ© Ă la main, lâair de dire : « Circulez, yâa rien Ă voir. »
Et aprÚs ? Une tragédie en trois actes
Acte 1 : Retailleau, le martyr de la droite
Imaginons la suite. Retailleau, vexé, ne tient plus.
Il dĂ©missionne, bombe le torse sur BFMTV : « Je ne serai pas complice dâun prĂ©sident qui brade la France. »
La droite applaudit, Bardella ricane, et Macron perd un pion.
Le gouvernement Bayrou vacille, déjà fragile aprÚs la débùcle de 2024.
Les Républicains flairent le sang et se rapprochent du RN.
Retailleau, hĂ©ros autoproclamĂ©, se rĂȘve en 2027.
Acte 2 : Bayrou, le fusible qui grille
Bayrou, lui, est coincé.
Il veut sauver son poste, mais ses mots sonnent faux. « On travaille, on dialogue », bla bla bla. Personne nây croit.
Si Retailleau part, il devient le bouc émissaire idéal.
Macron pourrait le virer pour calmer la tempĂȘte, mais avec qui le remplacer ?
Un éniÚme remaniement, un éniÚme fiasco.
LâĂlysĂ©e ressemble Ă une maison de cartes sous la pluie.
Acte 3 : LâAlgĂ©rie jubile, la France sâenlise
Pendant ce temps, Alger se frotte les mains.
Tebboune bombe le torse : « La France plie, pas nous. »
Ils coupent un peu de gaz, histoire de rappeler qui tient le manche.
Macron rĂ©duit les visas en douce, mais sans toucher aux accords â trop peur du scandale.
RĂ©sultat ? Une crise qui pourrit, un prĂ©sident qui sâisole, et un peuple qui gronde.
Dâici lâĂ©tĂ© 2025, le gouvernement tombe, et les accords de 1968, intouchables sous Macron, seront peut-ĂȘtre renĂ©gociĂ©s⊠par un autre.
Le mot de la fin
Macron joue les équilibristes, mais il glisse.
Bayrou et Retailleau, désavoués, préparent leurs couteaux.
LâAlgĂ©rie, elle, dicte sa loi.
La France ? Elle regarde, hĂ©bĂ©tĂ©e, son prĂ©sident tendre lâautre joue.
Rideau.