TPMP absent des box Bouygues : que se passe-t-il vraiment ?
Un mystère autour de la diffusion
Pourquoi TPMP n’était pas au rendez-vous ?
Ce lundi 3 mars 2025, Touche Pas à Mon Poste (TPMP), l’émission de Cyril Hanouna, a fait son grand retour sur « Zoubida TV » après l’arrêt de C8, décidé par l’Arcom. Accessible sur SFR (canal 29), Free (canal 31), Orange (canal 80) ou encore Canal+ (canal 29), la chaîne éphémère était aussi attendue sur les Bbox de Bouygues Telecom, au canal 64.
Pourtant, surprise : rien.
Les abonnés Bouygues n’ont pas pu regarder l’émission.
Que s’est-il passé ? Un simple oubli ou un choix délibéré ?
Un retard technique ou autre chose ?
Bouygues Telecom a rapidement réagi, évoquant un « retard technique » lié à des « éléments à finaliser dans le plan de diffusion ».
La chaîne serait disponible « prochainement » – peut-être dès le 11 mars, selon certaines sources.
Mais cette explication suffit-elle ?
Quand les autres opérateurs ont diffusé Zoubida TV sans accroc, pourquoi Bouygues, lui, reste à la traîne ?
Le timing interroge, surtout quand on sait que le groupe Bouygues, propriétaire de TF1, TMC et LCI, diffuse Quotidien, concurrent direct de TPMP.
Y a-t-il un lien à faire, ou est-ce une coïncidence ?
Une question de concurrence ?
Sur X, les spéculations vont bon train.
Certains abonnés se demandent si Bouygues n’aurait pas intérêt à limiter la visibilité de TPMP, au profit de ses propres programmes.
Après tout, la guerre des audiences entre Hanouna et Barthès n’est un secret pour personne.
Mais est-ce vraiment plausible qu’un opérateur prenne une telle décision, au risque de frustrer ses clients ?
Ou bien le problème est-il purement logistique, comme l’affirme Bouygues ?
Pour l’instant, aucune preuve ne permet de trancher.
Qu’en pensent les abonnés ?
Reste une certitude : les abonnés Bouygues, eux, n’ont pas eu le choix depuis ce lundi.
Alors que TPMP cartonne sur YouTube ou Molotov, pourquoi cette absence sur leurs box ?
Et si le retard perdure, comment réagiront-ils ?
Résiliations en vue ou simple impatience passagère ?
Une chose est sûre : cette affaire soulève des questions sur la diffusion des contenus en 2025.
Entre technique et stratégie, le flou persiste. À suivre.