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Superman vs le Protecteur : le choc des titans décrypté

Un combat à mort entre Superman, l’icône intouchable de DC, et le Protecteur, le psychopathe narcissique de The Boys, ça vous fait saliver ?

Pas de cape qui vole au vent ni de morale bien-pensante ici, juste une question brute : qui sortirait vainqueur d’un affrontement où tous les coups sont permis ?
On plonge dans une analyse sérieuse, avec des arguments qui tiennent la route, pour trancher ce duel de Superman contre le Protecteur.
Accrochez-vous, ça va cogner.

Superman : la force brute d’un dieu solaire

Commençons par le boy-scout de Krypton.
Superman, c’est une machine de guerre alimentée par le soleil.
Voler à des vitesses supersoniques, soulever des continents, encaisser des explosions nucléaires sans sourciller : ses pouvoirs sont quasi illimités. Dans Action Comics, il déplace des planètes comme on pousse un caddie.
Sa vision thermique peut découper l’acier, et son ouïe capte un murmure à des kilomètres.

Face à un adversaire comme le Protecteur, Superman a un avantage clair : sa puissance brute et sa résilience. Même un missile en pleine face ne le ferait pas vaciller longtemps. Son point faible ? La kryptonite, évidemment, mais rien n’indique que le Protecteur ait accès à cette rareté dans l’univers de The Boys.

Le Protecteur : un Superman tordu avec une touche de vice

Passons au Protecteur, ou Homelander pour les intimes.
Ce « héros » dopé au Composé V n’est pas un tendre. Il vole, possède une force surhumaine, des rayons laser oculaires et une ouïe aiguisée – un écho flippant de Superman, mais en version cynique et instable.
Dans The Boys, il pulvérise des avions en plein vol et découpe des humains comme du papier mâché. Sa limite ?
Il n’a pas la puissance cosmique de Superman.

Soulever une montagne, OK, mais une planète ? Oublie.
Et sa psyché fragile est un talon d’Achille : il perd vite ses moyens face à une vraie menace ou une humiliation.
Contre Superman, ce défaut pourrait le faire craquer.

Le duel : puissance contre stratégie

Imaginons le choc. Superman contre le Protecteur, ça démarre fort : coups de poing supersoniques, immeubles qui s’effondrent, rayons laser qui s’entrechoquent.
Superman a l’avantage en vitesse et en endurance. Il esquive des tirs à la vitesse de la lumière – le Protecteur, lui, n’a jamais montré une telle agilité.
Homelander pourrait tenter une approche vicieuse, genre attaquer des civils pour déstabiliser Clark.
Mais Superman, avec son sens aigu de la justice, riposterait sans hésiter dès qu’il comprendrait que ce type est un danger public.

Le Protecteur a une carte dans sa manche : son absence totale de morale.
Il pourrait jouer dirty, chercher une faille psychologique. Sauf que Superman, malgré son côté boy-scout, a déjà affronté des génies manipulateurs comme Lex Luthor.

Homelander, avec son ego surdimensionné, n’a pas la finesse pour l’emporter sur ce terrain. Et niveau résistance, c’est plié : le Protecteur saigne, fatigue, tandis que Superman encaisse des supernovas dans Justice League.
À la longue, l’Homme d’Acier userait son adversaire.

Verdict : l’Homme d’Acier l’emporte

Alors, Superman contre le Protecteur, qui gagne ?
Superman, haut la main.
Sa puissance brute, sa vitesse et sa résilience surpassent les capacités du Protecteur, même en tenant compte de la sauvagerie de ce dernier.
Homelander est un caïd dans son monde, mais face à un quasi-dieu comme Clark Kent, il finit en charpie.

Désolé, fans de The Boys, votre champion ne fait pas le poids face à l’original.
La cape rouge flotte encore.