Quand une sexsomniaque perturbe les nuits de son quartier
Dans le grand cirque des pathologies cheloues, il y a des cas qui sortent carrément du lot.
Prenez Lauren Spencer, une meuf de 51 piges, mère de famille et épouse modèle le jour, qui se transforme en chasseuse nocturne une fois la lumière éteinte.
La nuit, elle balance ses fringues, ouvre grand les yeux et part en mission dans les rues pour trouver des jeunes mecs.
Son mari galère à la tenir à la maison, et franchement, leur histoire, c’est du lourd.
Parce que vivre avec une maladie rare comme la sexsomnie, c’est pas de la tarte.
Une vie normale… jusqu’à minuit
En journée, Lauren, c’est la daronne parfaite.
Elle gère ses deux gosses, bichonne son jardin et sort le chien pour sa balade quotidienne.
Rien à signaler, tout roule.
Mais dès qu’elle pionce, son cerveau décide de faire la fête tout seul.
Son mec la décrit comme une possédée, incapable de contrôler quoi que ce soit. Les yeux ouverts, elle a l’air réveillée, mais elle est ailleurs, complètement perchée.
Et son délire ? Sortir à poil pour choper des mecs. Ouais, rien que ça.
Intéresser les curieux aux maladies rares, ça passe forcément par des histoires comme la sienne, qui te laissent sur le cul.
Le mari en mode gardien de nuit
Le pauvre gars, il a dû devenir expert en récupération express.
Lauren, surnommée “le lapin en chaleur” par les intimes, a déjà filé plus d’une fois dans la nuit.
Une fois, elle a même défoncé un antivol qu’il avait bricolé sur la porte.
Quand il s’est rendu compte qu’elle ne faisait plus de bruit, elle était déjà dehors, à poil, en pleine chasse.
Il a chopé une couverture et a couru pour la ramener avant qu’elle ne fasse un scandale.
Drôle sur le papier, mais en vrai, ça doit être un enfer à gérer.
La sexsomnie, c’est pas juste un gag, c’est une vraie galère.
Sexsomnie : kézako ?
D’après les toubibs, Lauren souffre d’une forme tordue de somnambulisme : la sexsomnie.
En gros, une fois endormie, elle se lance dans des trucs chelous, genre chercher du sexe ou se toucher.
Les stats disent que 1 à 8 % des gens pourraient être touchés par ce bordel.
Mais pour la soigner, faut d’abord capter d’où ça vient, et ça fait quatre ans qu’ils rament.
Intéresser les curieux aux maladies rares, c’est aussi montrer à quel point la science peut parfois patiner face à ces ovnis médicaux.
Des nuits sous haute surveillance
Son mari, un saint, ne l’a jamais lâchée.
À la maison, ils empilent les précautions, mais en voyage, c’est un autre level.
Lauren raconte :
Dans les hôtels, on doit placer une chaise contre la porte, et si c’est une porte à une seule poignée, on place une chaise devant, on attache un serre-câble autour de la poignée et on l’enchaîne à la chaise. Ainsi, si j’essaie de sortir, mon mari se réveillera.
Sérieux, qui pourrait supporter ça ?
Elle sait qu’elle a tiré le gros lot avec lui. Et quand elle ne chasse pas, elle briqué la salle de bain en mode zombie. Multitâche, la meuf.
Un mystère qui intrigue
Lauren a sa petite théorie. Elle bosse beaucoup avec des jeunes mecs en ligne, et elle se demande si ça ne joue pas dans sa tête la nuit.
Possible ? Va savoir. Ce qui est sûr, c’est que son cas fait jaser.
Intéresser les curieux aux maladies rares, c’est aussi leur balancer des histoires qui te collent des frissons et te font cogiter.
Lauren et son mari tiennent bon, mais leur quotidien, c’est un film d’horreur mâtiné de comédie absurde. Respect.