raymond qui pete

Raymond Abou « explose » TPMP : des gélules brûle-graisse qui mettent le feu au plateau

Médias & Cinéma People
Temps de lecture : 2 minutes

Il y a des soirs où TPMP ne sent pas la rose, et ce jeudi 20 février 2025, Raymond Aabou a mis le feu aux poudres – ou plutôt aux pets.
Vers 19h, sur le talk-show numéro 1 de la TNT, le chroniqueur balance une anecdote qui va faire trembler les murs du studio C8.

Entre deux éclats de rire, il lâche :

 « Depuis ce matin, j’arrête pas de péter ! »

Retour sur une journée explosive, entre gélules foireuses et plateau en PLS.

Mercredi soir : une connerie qui coûte cher

Tout commence la veille, mercredi soir. Raymond rejoint deux potes pour un dîner entre mecs. Ces derniers, impressionnés par sa perte de poids, le félicitent : « T’as bien maigri, Ray ! » Le chroniqueur, modeste mais honnête, leur confie que le plus dur reste à venir. Touchés par sa détermination, ses amis dégainent alors leur arme secrète : des gélules brûle-graisse, présentées comme le Graal de la minceur. « Prends ça, tu vas fondre encore plus vite ! » Ni une ni deux, Raymond avale le truc le jeudi matin, sans se douter qu’il vient d’allumer la mèche d’une bombe intestinale.

19h, TPMP : le petgate éclate

Le soir, en direct, Raymond balance tout.

« Depuis ce matin, je pète non-stop ! »

Le plateau explose de rire. Hanouna se tient les côtes, le public hurle, et les chroniqueurs sont à deux doigts de rouler sous la table. Géraldine Maillet, assise à côté de lui, a un réflexe de survie : elle se lève d’un bond pour s’éloigner, avant de revenir, confuse. Raymond, hilare, se tourne vers le public juste derrière lui :

« Attention, restez pas trop près, c’est dangereux ! »

Et il en rajoute une couche : pour venir de chez lui au studio – 45 minutes de trajet – il a dû rouler à 130 km/h, fenêtres grandes ouvertes, « pour pas crever asphyxié par mes propres pets ». Une image digne d’un film de Tarantino.

Des pets « abominables et vicieux »

Alors qu’il conclut en jurant qu’on ne l’y reprendra plus avec ces gélules maudites, Géraldine, présentée par Hanouna comme « spécialiste du pet » (LOL), pose LA question fatale : « Ils sont odorants, tes pets ? » Raymond part au quart de tour :

« Abominables et vicieux ! Les pires, c’est ceux qui font pas de bruit. Tu sens juste une chaleur qui te monte dessus, comme une vague. »

Le plateau est en larmes, entre dégoût et fou rire. Cyril, jamais en reste, tente de reprendre la main : « Moi, je pète jamais, les gars. Ma première fois, c’était en 2008. J’ai dit : ‘C’est la première fois que ça m’arrive !’ Et depuis, plus rien. » Un mytho tellement gros que même Raymond lève un sourcil en mode mort de rire.

Une ambiance folle avant la fin de C8

Hanouna, en bon roi du chaos, lance un tour de table pour débusquer « les têtes de péteurs » parmi les chroniqueurs. Gilles Verdez accuse Kelly Vedovelli, qui rétorque : « Toi, t’as une tête à faire des silencieux ! » L’hystérie est totale. Mais derrière les rires, une ombre plane : C8 ferme dans quelques jours. Cette ambiance de dingue, ces délires improbables, tout ça va cruellement manquer. Heureusement, la fine équipe de TPMP ne compte pas raccrocher.
On les retrouvera sans doute sur une autre chaîne, prêts à raconter encore les exploits explosifs de Raymond et cie. Parce qu’un pet, chez Hanouna, c’est plus qu’un bruit : c’est une légende.


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