đœïžLa poutine : recette dâun plat culte qui dĂ©chaĂźne les passions
Ăvaluons ensemble un phĂ©nomĂšne culinaire qui a mis le feu Ă X ce samedi 26 avril 2025 : le hashtag #Poutine en top tendance politique !
Pendant que certains sâengueulent sur la politique ou les derniĂšres conneries des influenceurs, toi, tâes lĂ , Ă saliver devant ce plat quĂ©bĂ©cois qui sent la rĂ©bellion et le gras assumĂ©.
La poutine, câest plus quâun plat, câest un fuck Ă la diĂ©tĂ©tique, un cri du cĆur contre les salades kale-quinoa.
Je tâinvite Ă dĂ©couvrir son histoire, son aura, et bien sĂ»r, la recette pour te pĂ©ter le bide comme un vrai.
La poutine, câest quoi ce bordel ?
La poutine, câest pas juste des frites noyĂ©es dans du fromage et une sauce brune.
Non, câest un symbole, une claque au snobisme culinaire.
Née dans les diners du Québec dans les années 1950, elle incarne le confort des petites gens, ceux qui bossent dur et qui veulent du plaisir sans chichi.
On raconte que le mot « poutine » viendrait dâun mĂ©lange de « pudding » et dâun bordel culinaire improvisĂ© par un cuistot qui aurait balancĂ© tout ce quâil avait sous la main.
RĂ©sultat ? Un plat qui te colle au cĆur (et aux artĂšres, soyons honnĂȘtes).
Pourquoi ça cartonne sur X ?
Ce samedi, #Poutine a explosĂ© sur X, et pas seulement Ă cause dâun dĂ©bat sur la meilleure recette. (je sais je vous prend pour un con, on sait tous que c’est du prĂ©sident Russe dont on parle sur X mais jouez le jeu quoi bordel !)
Câest une rĂ©volte culturelle, bordel !
Les Québécois défendent leur patrimoine face aux versions « hipster » avec du foie gras ou des frites de patate douce.
Les Français, eux, rĂąlent quâon les prenne pour des ploucs avec leurs clichĂ©s sur la gastronomie.
Et moi, je rigole en voyant ce bordel mondial autour dâun plat si simple. La poutine, câest le peuple qui hurle : « Laissez-nous kiffer notre gras en paix ! »

La recette de la poutine : fais-toi plaisir, merde !
Bon, arrĂȘte de baver, je te donne la vraie recette de la poutine, celle qui respecte lâĂąme du truc.
Pas de chichi, pas de vegan bullshit, juste du vrai.
IngrĂ©dients (pour 2, parce que tâes pas Ă©goĂŻste) :
- 500 g de frites (fraßches, pas ces trucs surgelés dégueus)
- 200 g de fromage en grains (le « squeak-squeak » quĂ©bĂ©cois, sinon tâas ratĂ© ta vie)
- 500 ml de sauce brune (gravy, pas une sauce de hipster)
- Huile pour frire (ouais, on fait pas light)
- Sel, poivre, et ton amour inconditionnel pour le gras
Ătapes :
Les frites : Coupe des patates en bĂątonnets. Frais, hein, pas de conneries.
Fais-les frire dans une huile bien chaude (180°C) jusquâĂ ce quâelles soient dorĂ©es et croustillantes. Ăgoutte, sale, et garde-les au chaud.
La sauce : AchĂšte une bonne sauce gravy en poudre si tâes flemmard (on juge pas), ou fais-la toi-mĂȘme avec un bouillon de bĆuf, un peu de farine, du beurre et une touche de vinaigre pour le peps.
Faut quâelle soit Ă©paisse mais pas comme du bĂ©ton.
Le fromage : Coupe ton fromage en grains ou trouve du vrai cheddar en grains.
Pas de mozzarella, sinon tâes excommuniĂ© du QuĂ©bec.
Lâassemblage : Mets tes frites brĂ»lantes dans une assiette. Balance les grains de fromage par-dessus.
Verse la sauce bien chaude pour que le fromage commence Ă fondre juste ce quâil faut. Sers ça direct, avec une biĂšre cheap pour lâambiance.
Et maintenant, tâen fais quoi ?
Je serai bien tentĂ© de te rĂ©pondre de te la carrer oĂč je pense…mais ce n’est pas poli de parler comme Ă ses lecteurs…n’est-ce pas ? đđ€
La poutine, câest pas juste un plat, câest une expĂ©rience.
Tu la manges Ă 2h du matâ aprĂšs une soirĂ©e trop arrosĂ©e, ou en plein hiver quand tâas besoin de rĂ©confort.
Mais attention, respecte-la. Pas de versions « healthy » ou de conneries Instagrammables avec des filtres.
La poutine, câest brut, câest vrai, câest nous.
Alors, la prochaine fois que tâentends un snob te parler de cuisine molĂ©culaire, sers-lui une poutine et regarde-le fermer sa gueule.