Nostradamus et la Troisième Guerre mondiale : une prophétie arabe qui résonne en 2025 ?

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Amis lecteurs, plongeons dans l’univers brumeux de Nostradamus, cet apothicaire du XVIe siècle devenu rockstar des prédictions apocalyptiques.
Ses quatrains, aussi cryptiques qu’un tweet mal traduit, continuent de hanter les esprits, surtout quand il s’agit de la fameuse Troisième Guerre mondiale.

Et si l’on en croit certaines interprétations, les pays arabes pourraient bien être au cœur de cette tempête prophétique.
Alors, plausible ou délire mystique ?

On décortique ça ensemble, avec un œil sur le monde d’aujourd’hui.

La prophétie décryptée : un Prince arabe et un million d’hommes

Dans la Centurie V, quatrain 25, Nostradamus écrit :

Le Prince Arabe, Mars, Sol, Venus, Lyon / Règne d’Église par mer succombera / Devers la Perse bien près d’un million / Bisance, Égypte, ver. serp. invadera.

Traduction pour les non-initiés : un leader arabe, sous des conjonctions astrales bien précises, mènerait une armée colossale – un million d’hommes, rien que ça – depuis la Perse (l’Iran moderne) jusqu’à Byzance (Istanbul) et l’Égypte.
L’Église, symbole de l’Occident chrétien, s’effondrerait sous cette vague venue de la mer.
Le « ver. serp. » (vers le serpent) évoque l’Apocalypse, un chaos biblique où l’ancien serpent sème la terreur. Bref, ça sent le blockbuster catastrophe.

Et aujourd’hui, ça matche ?

Regardez autour de vous.
Les tensions au Moyen-Orient sont une cocotte-minute prête à exploser. L’Iran, avec ses proxies comme le Hezbollah ou les Houthis, joue les gros bras face à Israël et ses alliés occidentaux.
La Turquie, héritière de Byzance, jongle entre ambitions néo-ottomanes et alliances troubles.
Et l’Égypte ? Elle reste un pivot stratégique, coincée entre crises internes et pressions régionales.
Ajoutez à ça la Russie, qui flirte avec Téhéran et Damas, et vous avez un cocktail géopolitique qui rappelle étrangement les « forces musulmanes en action » de Nostradamus.

Quant au million d’hommes, on pourrait y voir une métaphore pour une coalition massive – pas besoin de compter les soldats au pied levé.
Les mers, aussi, sont en ébullition. La Méditerranée, théâtre d’affrontements potentiels entre l’OTAN et des puissances hostiles, pourrait bien devenir cet espace où « le règne d’Église succombera ».
Les conflits maritimes, comme ceux autour des routes pétrolières ou des migrants, ne font que renforcer cette vibe prophétique.

Une date probable pour la guerre ?

Nostradamus ne donne pas de calendrier précis – ce serait trop facile.
Mais ses adeptes aiment spéculer.
Si l’on croise ses visions avec le bordel actuel, 2025 ou 2026 sonnent comme des suspects crédibles.
Pourquoi ? Les tensions russo-ukrainiennes, les guerres par procuration au Yémen ou en Syrie, et le réchauffement climatique qui pousse les populations à Migrer (et les nations à se crisper) dessinent un échiquier explosif. Certains y voient même un écho à la « grande guerre » de sept mois prédite ailleurs, qui pourrait être un prélude à un conflit plus vaste.

Disons-le : si ça pète, ce sera moins une question de « si » que de « quand ».

Plausible ou fantasme ?

Plausible, oui, parce que Nostradamus tapait souvent dans le mille en captant les peurs de son époque – guerres, invasions, fanatismes – qui restent des classiques intemporels.
Mais soyons sérieux : ses vers sont des miroirs déformants, pas des GPS.
Les pays arabes pourraient jouer un rôle, mais la Chine, la Russie ou même les États-Unis sont tout aussi capables de lancer la danse macabre.
Ce qui rend cette prophétie troublante, c’est sa capacité à coller aux angoisses d’aujourd’hui : un monde fracturé, des alliances mouvantes, et une humanité au bord du gouffre.

Alors, 2025 ? Peut-être. Ou peut-être pas.
Avec Nostradamus, c’est toujours un pari sur le chaos.

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