Macron et le feu nucléaire c’est carrément l’Europe au bord du gouffre : Quand la France joue à la roulette russe avec l’atome
Macron, l’apprenti sorcier de la dissuasion
On savait Macron adepte des grandes envolées, mais là, il dépasse les bornes du délire présidentiel.
Est-il devenu fou ?
En 2025, voilà qu’il balance, l’air de rien, l’idée de déployer des armes nucléaires françaises dans d’autres pays européens.
Une bombe dans tous les sens du terme.
Officiellement, c’est pour renforcer la « défense collective » face à une Russie menaçante et un Trump qui pourrait lâcher l’OTAN comme une vieille chaussette.
Mais derrière les mots policés, c’est un baril de poudre qu’il agite sous nos nez.
La France, seule maîtresse de l’atome en Europe post-Brexit, veut jouer les grandes sœurs protectrices.
Sauf que ça sent moins la solidarité que le poker géopolitique à haut risque.
Un danger qui irradie en silence
Imaginez un instant : des Rafale armés de missiles ASMP-A stationnés en Pologne ou en Allemagne.
Des ogives tricolores à deux pas de la frontière russe.
Vous entendez le tic-tac ? Parce que Poutine, lui, ne va pas rester à siroter une vodka en attendant.
Cette « européanisation » de la dissuasion, c’est une provocation déguisée en bonne intention.
La doctrine française, qui réserve l’arme ultime aux « intérêts vitaux » de la nation, deviendrait un gloubi-boulga stratégique.
Qui appuie sur le bouton ? Macron ? Scholz ? Un bureaucrate de Bruxelles ?
Et si Varsovie décide de jouer les cow-boys face à Moscou, la France se retrouve-t-elle embarquée dans une apocalypse qu’elle n’a pas choisie ?
Le danger, c’est aussi la prolifération.
Partager ne serait-ce qu’un bout de parapluie nucléaire, c’est ouvrir la boîte de Pandore.
Pourquoi l’Allemagne ou l’Italie ne voudraient-elles pas leur propre joujou atomique après ça ?
Sans parler des fuites technologiques vers des alliés moins fiables.
On flirte avec un domino de désastres, où chaque pion qui tombe rapproche l’Europe d’un champ de ruines radioactives.
Et si ça arrivait ? Bienvenue dans le chaos
Imaginons que Macron aille au bout. Des bases nucléaires françaises poussent comme des champignons en Europe de l’Est. La Russie, qui n’a pas pour habitude de tendre l’autre joue, déploie ses Iskander en Biélorussie et menace de vitrifier quiconque bouge.
Les tensions montent, un incident éclate – un drone mal identifié, une provocation mal calculée – et boum.
Une frappe « tactique » russe pour tester la détermination européenne.
La France riposte, l’OTAN s’en mêle, et l’escalade transforme le Vieux Continent en un remake de Fallout.
Les survivants, s’il y en a, maudiront ce jour où Macron a cru malin de jouer les apprenants stratèges avec des mégatonnes.
Une souveraineté sacrifiée sur l’autel de l’UE
Et puis, il y a la France elle-même.
Notre dissuasion, bijou de l’indépendance gaullienne, diluée dans une soupe européenne indigeste.
Fini, le contrôle exclusif.
Bonjour, les compromis foireux avec des partenaires qui n’ont ni la culture ni le sang-froid pour gérer l’arme absolue.
Macron vend ça comme une « grandeur » européenne, mais c’est une capitulation masquée.
Les Français, déjà méfiants, hurlent sur X leur refus de voir leur destin confié à des mains étrangères.
Et ils ont raison : l’atome, c’est pas un jouet qu’on prête.
Le réveil ou la fin
Macron joue avec le feu – un feu qui ne pardonne pas.
Cette idée n’est pas une vision, c’est une folie.
Si elle se concrétise, l’Europe ne sera pas plus forte, mais plus vulnérable, prise entre le marteau russe et l’enclume d’une souveraineté française en lambeaux.
Il est encore temps de dire non.
Sinon, priez pour que les radiations soient rapides.
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