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Macron promet de reconnaître la Palestine : espoir ou poudre aux yeux ?

Politique
Temps de lecture : 2 minutes

Macron et la reconnaissance de la Palestine : un coup d’éclat ou un mirage diplomatique ?


Tu sais, toi, ce que ça fait d’attendre un geste fort, quelque chose qui pourrait changer la donne, mais de te retrouver avec des promesses qui sonnent creux ?
C’est un peu l’impression que me laisse l’annonce d’Emmanuel Macron sur la reconnaissance de la Palestine.

Le 9 avril 2025, sur France 5, il a lâché une bombe : la France pourrait reconnaître « un État palestinien en juin à l’occasion d’une conférence qu’elle coprésidera avec l’Arabie saoudite à New York ».
Mais attends, est-ce qu’on parle d’un vrai pas vers la justice ou juste d’un énième coup de com’ pour briller sur la scène internationale ?
Allez, on creuse ensemble.

Un timing qui interroge

Pourquoi maintenant ? Après des décennies de conflit, de résolutions ONU ignorées et de souffrances des deux côtés, Macron sort cette carte en pleine tempête géopolitique.
La guerre à Gaza, les tensions avec Netanyahu, les reconnaissances récentes par l’Espagne et la Norvège… tout ça pèse.

Mais toi et moi, on n’est pas dupes. Annoncer ça à un an des européennes, c’est aussi un moyen de parler à l’électorat de gauche, celui qui reproche au président d’être trop tiède sur la Palestine.
Pourtant, cette conférence à New York, coorganisée avec l’Arabie saoudite, sent le compromis bancal.
Ryad, qui n’a jamais reconnu Israël, veut des garanties pour les Palestiniens avant toute normalisation. Macron joue-t-il les équilibristes ou les faiseurs de paix ?

Des réactions qui en disent long

Les réactions, parlons-en. Côté palestinien, on applaudit, mais du bout des doigts.
Varsen Aghabekian Shahin, ministre palestinienne, a salué un « pas dans la bonne direction », mais sans s’emballer.
Normal, les promesses, ils en ont soupé.
En Israël, c’est la douche froide. Netanyahu, fidèle à lui-même, doit déjà préparer un communiqué rageur, criant à la trahison.
En France, c’est le grand écart : la gauche crie victoire, la droite hurle au scandale. Et toi, t’en penses quoi ? Moi, je vois surtout un président qui veut laisser une trace, mais qui risque de se prendre les pieds dans le tapis diplomatique.

Une reconnaissance, mais à quel prix ?

Reconnaître la Palestine, c’est symbolique, mais c’est aussi un piège.
Sans un vrai plan, sans pression sur Israël pour geler les colonies, ça reste des mots. Macron parle de « solution à deux États », mais qui y croit encore quand les colons s’étendent et que Gaza est à genoux ?

J’ai l’impression qu’on me vend du rêve, mais que le réveil sera brutal.
Et puis, cette conférence à New York, elle sent le sommet bling-bling où tout le monde pose pour la photo sans rien régler. Toi, tu vois ça comment ? Un espoir ou une illusion ?


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