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Taxes de Trump : Quand la tech mondiale tremble sous les tarifs douaniers

Une guerre économique qui nous touche tous

Alors, on y est. Donald Trump dégaine ses taxes comme un cow-boy dans un western, et pas n’importe lesquelles : des droits de douane massifs sur tout ce qui vient de Chine, du Vietnam, de Taïwan, d’Inde et même d’Europe.

Une offensive qui sent la poudre et qui pourrait bien faire tousser nos portefeuilles.
Parce que oui, la tech, ce géant mondialisé qui nous vend des iPhone, des consoles et des ordis, va morfler. Et nous avec.

Imaginez : depuis 2017, Apple nous sort son « iPhone Pro » à 999 dollars comme un métronome.
Mais là, en 2025, avec l’iPhone 17 Pro, ça risque de piquer.
Je vous invite d’ailleurs à lire mon article sur le sujet de cette crise et le business d’Apple ici !

Les taxes de Trump pourraient faire grimper les prix de 300 dollars, selon les plus pessimistes.
Pourquoi ? Parce que fabriquer en Chine, ça va coûter 34 % de plus à l’arrivée aux États-Unis. Au Vietnam ? 46 %.
En Inde ? 26 %. Et les puces de Taïwan, ces petits bijoux à 32 % de surcoût, pourraient aussi faire grimper la note indirectement.

Apple va-t-il serrer les dents ou nous refiler la facture ? Spoiler : on connaît déjà la réponse.

Europe, le répit illusoire

Et nous, en Europe, on échappe au carnage ? Pas si vite.
Les taxes de Trump ne frappent que les importations américaines, donc un iPhone qui voyage de Shenzhen à Amsterdam devrait passer entre les gouttes.
Cool, non ? Sauf que l’économie, c’est pas un conte de fées.
Les multinationales comme Apple ne vont pas gentiment absorber ces coûts juste pour faire plaisir à Uncle Sam.
Non, elles vont répartir la douleur partout, histoire qu’on paye tous un peu plus.

Donald Trump et ses frais de douane. Chaque pays a son propre taux d’importation basé sur un calcul contesté.
Ça sent le Monopoly version cauchemar, non ?

Apple, Nintendo, Sonos : la grande valse des prix

Si Trump va au bout de ses promesses, les taxes vont exploser outre-Atlantique. Et pour la tech, qui assemble ses joujoux aux quatre coins du globe, c’est le début d’un sacré bordel.

Apple bricole ses gadgets en Chine, en Inde, au Vietnam, au Brésil, mais presque rien aux États-Unis.
Trump rêve de rapatrier tout ça au pays de l’Oncle Sam, mais soyons sérieux : ça ne se fait pas en claquant des doigts.
Résultat ? Les prix vont grimper, et pas qu’un peu. Nintendo, avec sa Switch 2 à 469 euros en Europe et 449 dollars aux États-Unis, semble déjà danser sur un fil.

La console vient de Chine (34 % de taxes), et pourtant, les prix restent proches. Stratégie ou anticipation ?
Sonos, lui, lâche le morceau : il y « aura potentiellement des conséquences ». Traduction : préparez-vous à casquer.

Composants et riposte européenne : le double effet kiss cool

Et ce n’est pas fini. Les puces, ces petites merveilles d’Asie, vont aussi prendre cher.
Les labos américains qui bossent sur l’IA ou les gadgets du futur devront payer plus pour les importer.
Conséquence ? Les semi-conducteurs pourraient devenir un luxe, et devinez qui trinque à la fin ?

Nous. Pendant ce temps, en France, on parle de taxer les GAFAM pour riposter aux 20 % que Trump veut coller à l’UE.
Double peine : les géants US augmentent leurs prix, et l’Europe surtaxe en retour.

Les frais imposés par la Maison-Blanche en ce « jour de libération » risquent de nous libérer surtout de notre pouvoir d’achat.
Bref, entre Trump qui joue les shérifs et une économie mondiale qui tangue, on est tous dans le même bateau.
Et il prend l’eau.