Le mystère du « N » noir de Nutella enfin dévoilé pour toi
Imagine-toi, un matin tranquille, une tartine à la main, le pot de Nutella grand ouvert devant toi.
Tu fixes le logo, ce mot si familier, et là, un détail te saute aux yeux : pourquoi diable ce « N » est-il noir alors que le reste brille en rouge ?
Si cette question t’a déjà effleuré l’esprit, accroche-toi, je vais te raconter une histoire qui va te scotcher.
Oui, toi et moi, on va plonger dans les coulisses de cette pâte à tartiner qui a marqué nos petits-déjeuners et nos goûters.
Un secret qui ne dort pas dans la tombe
Il y a peu, Francesco Rivella, l’un des cerveaux derrière Nutella, nous a quittés à 97 ans.
Une légende s’éteint, mais pas ses mystères.
Sa disparition a rallumé la curiosité autour de cette pâte chérie.
Sur les réseaux, toi comme moi, on voit des gens se demander :
Mais pourquoi ce « N » noir ?
Pas de panique, Rivella n’a pas emporté la réponse dans l’au-delà. Elle est là, accessible, et je vais te la livrer sur un plateau – ou plutôt sur une tartine.
Retour aux origines de Nutella
Pour comprendre, remontons en 1964. Cette année-là, Francesco Rivella et Michele Ferrero, le fils du grand patron de Ferrero, unissent leurs talents pour donner vie à Nutella.
Avant ça, la pâte s’appelait Supercrema Gianduja – un nom qui claquait, non ?
Mais voilà, une loi italienne a débarqué et a dit « stop » à l’utilisation du mot « super » dans les marques.
Fini les superlatifs, il fallait trouver autre chose.
C’est là que « Nutella » est né, un mix malin entre « nut » (noisette en anglais) et une petite touche italienne avec « ella ».
Toi qui aimes les anecdotes, avoue que ça te fait sourire.
Une astuce face à un logo déjà pris
Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
Quand ils ont voulu déposer la marque Nutella, surprise : un logo tout rouge existait déjà.
Embêtant, hein ? Alors, plutôt que de se lancer dans une bataille juridique interminable, ils ont eu une idée toute simple : rendre le « N » noir.
Une lettre qui se démarque, un compromis qui fonctionne, et bam, le tour était joué.
Ce choix, presque forcé, est devenu une signature visuelle qu’on reconnaît tous aujourd’hui.
Toi, quand tu vois ce pot dans ton placard, tu y penses maintenant, pas vrai ?
Et toi, qu’en dis-tu ?
Alors, savais-tu que ce « N » noir cachait une histoire pareille ?
Moi, je trouve ça fascinant, cette façon dont un détail imposé par les circonstances a fini par définir une icône.
Pendant ce temps, à Marseille, des contrefaçons d’une certaine pâte El-Mordjene circulent, et ailleurs, on se demande pourquoi la pâte Lotus a déserté nos rayons.
Mais revenons à nous : ce « N » noir, il te parle ?
Laisse-moi un petit mot, toi qui lis ça avec peut-être une cuillère de Nutella à la main. Ton avis, il compte pour moi.
Un héritage qui reste dans nos cœurs
Nutella, c’est plus qu’une pâte à tartiner, c’est un bout de notre quotidien.
Ce « N » noir, c’est une trace d’ingéniosité, un clin d’œil à une époque où il fallait ruser pour exister.
Alors la prochaine fois que tu ouvriras un pot, pense à Rivella, à Ferrero, et à cette loi qui a tout changé.
Moi, je te vois bien sourire en te disant que derrière chaque tartine, il y a une histoire.
Et si tu veux en savoir plus sur les coulisses des marques, reste dans le coin, on a encore plein de secrets à partager.