La colère des joueurs face au prix de la Switch 2 : les nouveaux jeux, source principale d’agacement
Te voilà, toi, devant ton écran, le cœur battant d’excitation à l’idée de découvrir la Switch 2, la nouvelle pépite de Nintendo.
Mais quand les prix tombent, c’est la douche froide.
Moi aussi, j’ai ressenti ce pincement au cœur, cette déception qui te fait presque lâcher un soupir audible.
La console, qui sortira le 5 juin prochain dans le monde entier, est annoncée à 469,99 euros.
Et les jeux ? Accroche-toi : 89,99 euros pour Mario Kart World en version physique, 79,99 euros en dématérialisé.
On parle d’un tarif qui dépasse même celui des grosses productions sur PS5 ou Xbox Series.
Alors, toi et moi, on se pose la même question : est-ce que Nintendo a perdu la tête avec ses prix exorbitants ?
Un lancement qui fait grincer des dents
L’annonce de la Switch 2, ce mercredi 2 avril, lors d’un live YouTube, avait tout pour plaire.
Une console hybride nouvelle génération, des performances prometteuses, et des jeux alléchants comme Mario Kart World, Donkey Kong Bananza ou Kirby Air Riders.
Mais Nintendo a attendu la fin de la présentation pour lâcher la bombe sur son site et ses réseaux sociaux : 469,99 euros pour la console seule, et jusqu’à 509,99 euros pour le pack avec Mario Kart.
Comparé aux 329,99 euros de la première Switch en 2017, ça fait mal.
Très mal. Toi qui avais peut-être économisé pour te faire plaisir, tu te sens un peu trahi, non ?
Moi, en tout cas, j’ai eu du mal à encaisser.
Des jeux à des prix exorbitants : le vrai scandale
Si le prix de la console a déjà de quoi te faire réfléchir, ce sont les tarifs des jeux qui m’ont vraiment fait bondir.
Mario Kart World, le titre phare de ce lancement, est proposé à 89,99 euros en version boîte et 79,99 euros en numérique.
Même Donkey Kong Bananza, un peu moins cher, reste à 69,99 euros en dématérialisé et 79,99 euros en physique.
Ces prix exorbitants placent les jeux Nintendo au-dessus de la moyenne des blockbusters du marché.
Toi qui aimes collectionner les versions physiques, comme moi, tu te rends compte que ce format, déjà menacé, devient un luxe.
On a l’impression que Nintendo nous pousse à abandonner nos habitudes de gamers passionnés.
La communauté des joueurs réagit avec amertume
Sur les réseaux sociaux, la colère est palpable. Sur X, certains ironisent :
J’ai une théorie sur le fait que Nintendo ait annoncé le prix de la Switch 2 et du Mario Kart le 2 avril et pas la veille
plaisante un streameur Twitch.
D’autres sont plus directs :
Je n’étais pas prêt pour ce prix
lâche un internaute. Moi aussi, je me suis senti démuni face à ces annonces.
Un développeur de jeux vidéo a même partagé son choc :
Je trouve ça vraiment abusé (sans compter le prix de la Switch 2 en plus) mais peut-être que c’est moi le problème ?
Et puis, il y a ceux qui comparent la Switch 2 à la PS5 Pro : une belle machine, mais à un prix exorbitant, avec des jeux qu’on a l’impression d’avoir déjà vus.
Une vague de déception sur les réseaux
Le hashtag « 90 balles » a envahi X, et les réactions oscillent entre déception et humour grinçant.
Sur TikTok, les utilisateurs se moquent gentiment des fans inconditionnels de Nintendo, et je dois avouer que j’ai souri en voyant certaines vidéos.
Mais derrière l’humour, il y a une vraie frustration.
Une joueuse a résumé ce que beaucoup ressentent :
Ça sera sans moi les gars
Toi aussi, tu as peut-être eu envie de dire la même chose, non ?
Moi, en tout cas, je me demande si je vais craquer ou attendre une baisse de prix.
Et si ces prix exorbitants changeaient l’industrie du jeu vidéo ?
Au-delà de notre déception, ces prix exorbitants pourraient avoir un impact plus large.
Nintendo ouvre une brèche que d’autres éditeurs pourraient exploiter.
Imagine Rockstar Games augmenter le prix de GTA VI, prévu pour 2025, pour s’aligner sur ces nouveaux tarifs.
Toi et moi, on risque de devoir débourser encore plus pour nos jeux préférés, toutes consoles confondues.
En tant que premiers à passer à la caisse cette année, les joueurs Nintendo pourraient bien donner le ton pour l’avenir de l’industrie.
Et ça, ça me fait un peu peur.