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Quand la République devient un jouet SpaceX

La rumeur clignote comme un néon dans la nuit digitale : Elon Musk, l’homme aux rêves plus grands que Mars, aurait claqué des milliards d’euros pour s’offrir la France.
Oui, la France – ses croissants, ses grèves, sa Tour Eiffel et sa dette abyssale.
Imaginez le tableau : l’État français, ruiné, plie bagage, et Musk débarque en Tesla customisée, un sourire en coin, prêt à transformer ce bout d’Europe en bac à sable extraterrestre.

J’ai plongé dans cette dystopie loufoque pour voir ce qu’il pourrait bien faire avec son nouveau joujou.
Spoiler : c’est du grand n’importe quoi.

Un lifting orbital pour la Tour Eiffel

Première lubie du nouveau roi de France ?
La Tour Eiffel.
Fini le rôle de vieille dame en ferraille pour touristes Instagram. Musk la démonte, la fusée-fie, et bim, la voilà en orbite basse, transformée en antenne 5G (voir 6G pour aller encore plus vite) géante pour booster Starlink.

« Paris sans Tour Eiffel, c’est plus moderne », tweete-t-il depuis son bunker versaillais, pendant que les Parisiens hurlent au sacrilège en sirotant leur café à 8 euros.

L’Arc de Triomphe, lampe de chevet pour fusées

L’Arc de Triomphe ?
Trop statique pour un mec qui rêve de coloniser les étoiles.
Elon le recycle en lampe de lancement pour ses fusées Falcon. Les Champs-Élysées deviennent une piste d’atterrissage, illuminée par des LED incrustées dans la pierre napoléonienne.
Les klaxons des taxis parisiens sont remplacés par des vrombissements de moteurs plasma. « La victoire mérite des watts », lâche-t-il dans un post sur X, pendant que les influenceurs filment l’engin en direct.

Gouv.fr redirigé vers le chaos de X

Adieu, site administratif à la navigation kafkaïenne.
Musk reroute gouv.fr direct sur son réseau X, transformant les déclarations d’impôts en threads cryptiques et les demandes de RSA en mèmes sur Dogecoin.

« La bureaucratie, c’est finito. Maintenant, vous payez vos amendes en crypto ou en likes », proclame-t-il, hilare, tandis que les fonctionnaires tentent de comprendre comment tweeter un arrêté préfectoral.

Les châteaux de la Loire en stations-service Tesla

Les châteaux de la Loire, ces reliques d’un passé monarchique ?
Musk les convertit en stations-service pour Tesla, avec des bornes de recharge plantées dans les douves.
Chenonceau devient un hub pour drones livreurs de baguettes, et Chambord un QG pour ses ingénieurs Neuralink, qui testent des implants sur des volontaires en béret.

« La Renaissance, c’est moi », plaisante-t-il en dégustant un vin de Bordeaux millésimé.

La Dette ? Un ticket pour Mars

Et la dette française, ce gouffre légendaire ?
Épongée en un virement intergalactique. Mais Musk ne s’arrête pas là.

Il transforme les anciennes usines Renault en fermes de cryptomining et finance un projet fou : une autoroute magnétique reliant Paris à Marseille, avec des Hyperloops customisés aux couleurs de la Légion étrangère.
« La France, c’est mon terrain d’essai pour Mars », lâche-t-il lors d’une conf call avec ses potes milliardaires.

Un Musk roi de France 2.0

Gouverner la France, pour Elon, c’est un jeu vidéo grandeur nature ; pire que GTA 6 qui n’a pas encore sa date de sortie officielle…
Il remplace l’Assemblée nationale par un algorithme d’IA, installe des distributeurs de Space Food dans les lycées et décrète que le 14 juillet sera désormais une fête en apesanteur, retransmise en VR.
Les Français râlent – évidemment – mais finissent par kiffer ce cirque absurde, entre deux manifs sponsorisées par Tesla.

Musk, lui, regarde son œuvre depuis un dirigeable au-dessus de la Seine, essayant d’imaginer quel nouveau nom il va lui donner, avant de rebaptiser Paris.

Ceci est bien évidemment une parodie et un billet d'humour. 
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