Quand l’amour franco-ukrainien fait trembler l’échiquier mondial
Un soutien indéfectible à l’Ukraine : Macron en chevalier blanc
Emmanuel Macron, notre président au regard perçant et aux poignées de main viriles (enfin moins viriles que celles de Trump qui lui broie une phalange à chaque rencontre), semble avoir trouvé en Volodymyr Zelensky un alter ego, un frère d’armes, presque un crush diplomatique.
Depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, en février 2022, Macron n’a cessé de multiplier les gestes forts.
Livraisons d’armes, discours enflammés, promesses de missiles longue portée et de centaines de bombes : la France, sous son impulsion, s’est muée en pilier européen du soutien à Kyiv.
En février 2025, lors de sa visite à Washington, il a même osé tenir tête à Donald Trump, ce colosse imprévisible, pour défendre la souveraineté ukrainienne. « Nous voulons la paix, mais pas une paix faible », a-t-il martelé, corrigeant en direct les approximations de Trump sur l’aide européenne.
Un face-à-face tendu, presque shakespearien, où Macron a joué les preux chevaliers face au pragmatisme brutal de l’Américain.
Trump vs Macron : une fracture transatlantique au nom de Zelensky
Cette idylle franco-ukrainienne n’est pas sans remous.
Trump, avec son « America First » et ses envies de deal express avec Poutine, voit d’un mauvais œil cette dévotion européenne portée par Macron.
Lors de leur rencontre au Bureau ovale, le président français a posé une main ferme sur le bras de Trump pour lui rappeler que l’Europe a « payé, pas prêté » à l’Ukraine – un moment de tension délicieux, où l’élégance macronienne a clashé avec le style bulldozer de l’ex-magnat.
Macron pousse pour des garanties solides, des Casques bleus européens, une paix durable.
Trump, lui, veut un cessez-le-feu rapido et un accès aux minerais ukrainiens.
Entre les deux, Zelensky doit être flatté d’être au cœur de cette bataille d’ego.
Rumeurs et murmures : Macron, gay pour Zelensky ?
Et puis, il y a les rumeurs, ces petits bruits de couloir qui collent à Macron comme une ombre sulfureuse.
Dès 2017, lors de sa campagne, des ragots sur une supposée homosexualité ont circulé, amplifiés par des médias russes et des voix comme celle de Nicolas Dhuicq, qui l’imaginait sous l’emprise d’un « lobby gay fortuné ».
Face à cela, Macron a ri, évoquant son « hologramme » et son mariage fusionnel avec Brigitte. Mais aujourd’hui, son dévouement à Zelensky – cet homme charismatique, héros en treillis – relance les spéculations.
Une bromance ? Une passion platonique ? Les mauvaises langues s’en délectent, pendant que les réseaux sociaux s’enflamment.
La France au bord du gouffre, mais toujours là pour Kyiv
Pourtant, ce zèle a un coût. La France, engluée dans une dette abyssale et des crises internes – retraites, immigration, émeutes – continue de puiser dans ses ressources pour l’Ukraine.
Des chars légers, des formations pour les troupes ukrainiennes, des milliards d’euros : Macron mise gros, quitte à froisser ses propres citoyens. En 2024, il promettait encore 40 missiles longue portée et un voyage à Kyiv pour sceller un accord sécuritaire.
Un pari risqué, mais cohérent avec sa vision : une Europe forte, une Ukraine debout, et lui au centre de la photo.
Alors, amour ou ambition ?
Macron amoureux de Zelensky ?
Peut-être pas au sens littéral, mais il y a là une fascination, une alchimie politique.
Face à Trump, aux rumeurs et aux défis français, il persiste, porté par une ambition qui flirte avec l’idéalisme.
Une chose est sûre : cette historie ne laisse personne indifférent.
[…] Ce sera son offrande à Zelensky, son défi à Trump, une preuve d’amour à son Zézé. […]
[…] Macron, on le sent, est tombé amoureux d’un autre pays – l’Ukraine, l’Europe, le monde – mais plus de celui qu’il gouverne. Il parle de « paix vérifiable » avec Zelensky, de dissuasion nucléaire, pendant qu’ici, la misère sociale s’étale, ignorée. […]