jardins intérieurs

Et si votre appart’ devenait une jungle miniature ?

Maison Plantes & Fleurs Vie & Société
Temps de lecture : 3 minutes

đŸȘŽUn coin de nature chez soi : les jardins intĂ©rieurs rĂ©inventent la ville


Dans les cages Ă  lapins des villes françaises, oĂč le bĂ©ton Ă©touffe et les mĂštres carrĂ©s se comptent sur les doigts, une rĂ©volution verte se prĂ©pare. Exit les balcons riquiqui et les jardiniĂšres moches : les citadins s’attaquent aux jardins intĂ©rieurs.

Murs vĂ©gĂ©taux, mini-serres, coins de chlorophylle planquĂ©s dans 20 mÂČ, c’est le nouveau dĂ©lire des urbains en manque de nature.
Pourtant, on n’en parle presque pas.
Pourquoi ? Parce qu’on fantasme encore les potagers extĂ©rieurs, alors que l’intĂ©rieur pourrait devenir une oasis.

Voici comment les jardins intĂ©rieurs changent la donne, avec des astuces, des plantes qui tiennent le coup et un shoot de bien-ĂȘtre garanti.

Pourquoi les jardins intérieurs dorment encore ?

En France, on kiffe les balcons fleuris et les terrasses Instagram-ready, mais transformer son salon en jungle ?
Ça reste dans l’ombre. Les murs vĂ©gĂ©taux, les suspensions ou les mini-serres, c’est vu comme un truc de riche ou de hipster perchĂ©.
Pourtant, avec la mode du bien-ĂȘtre et du retour Ă  la nature, les jardins intĂ©rieurs devraient cartonner.

Sauf que les tutos manquent, les idées fusent pas assez, et les proprios flippent pour leurs parquets.
RĂ©sultat : dans les apparts minuscules, le vert reste un rĂȘve qu’on ose pas toucher.

Des plantes qui squattent malin

Pas besoin d’un palace pour inviter la nature chez soi.
Les pros des jardins intérieurs misent sur des warriors : pothos, pilea, fougÚres ou sansevieria.
Ces bĂȘtes-lĂ  poussent sans broncher dans la pĂ©nombre et l’air sec des apparts parisiens.
Un mur végétal ? Prenez un treillis, des pots légers, et bam, vous avez un rideau vivant.
Une mini-serre ? Une étagÚre en verre, une lampe LED, et vos bébés tropicaux kiffent.

L’astuce, c’est de jouer avec la hauteur : suspensions au plafond, tablettes murales, chaque recoin devient un spot vert.

Un shoot pour la tĂȘte et le corps

Et là, c’est pas juste pour frimer.
Les jardins intĂ©rieurs, c’est une bouffĂ©e d’oxygĂšne littĂ©rale.
Les plantes filtrent les cochonneries de l’air – adieu les vapeurs de peinture ou les odeurs de mĂ©tro.

Des Ă©tudes le disent : mater du vert baisse le stress, apaise le cerveau, et fait mĂȘme dormir mieux.
Dans un 25 mÂČ oĂč les murs vous Ă©crasent, un bout de jungle intĂ©rieure, c’est comme un Xanax naturel.
Les citadins qui ont testĂ© jurent qu’ils respirent plus large, qu’ils cogitent moins sombre.

Do it yourself : votre coin vert en 3 étapes

Envie de vous lancer ?

Step 1 : choisissez un coin – prĂšs d’une fenĂȘtre ou sous une lampe si c’est sombre.
Step 2 : Ă©quipez-vous – un arrosoir riquiqui, des billes d’argile pour drainer, et des plantes faciles.
Step 3 : laissez pousser et kiffez.

Pas de budget ? Recyclez des bocaux ou des palettes. Les jardins intĂ©rieurs, c’est du bricolage malin, pas une ruine.
À Montreuil ou Ă  Lyon, des pionniers postent dĂ©jĂ  leurs chefs-d’Ɠuvre sur Insta : un mur de lierre dans un studio, une serre de poche dans une cuisine.

La ville respire enfin

Dans les boĂźtes de conserve urbaines, les jardins intĂ©rieurs sont plus qu’une mode : une rĂ©bellion douce.
Les Français veulent du vert, du vrai, mĂȘme sans balcon.

Alors, Ă  quand votre bout de forĂȘt dans le salon ? La nature s’invite, et elle n’attend pas une terrasse pour squatter.


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