Rapatriement des djihadistes français : une décision risquée de Darmanin ? Livrés avec ou sans lubrifiants pour le cul des français ?!
Je t’invite à analyser ensemble une décision qui fait grincer des dents (surtout les miennes j’avoue) : le rapatriement de djihadistes français détenus en Irak, annoncé par Gérald Darmanin, ministre de la Justice.
Oui, tu as bien lu, ces individus, condamnés pour des liens avec l’État islamique, pourraient bientôt purger leur peine en France.
Mais entre les conditions de détention inhumaines en Irak et le risque de récidive ici, est-ce vraiment une bonne idée ?
Accroche-toi, on va décortiquer ça avec une touche d’humour pour ne pas sombrer dans la morosité, cette seconde information Darmanesque du jour…
Irak : des prisons indignes, mais un message clair
Imagine-toi dans une cellule d’Al-Russafa à Bagdad : 120 détenus entassés, une douche, deux toilettes, et une bouteille d’eau d’1,5 litre par jour pour boire, te laver et faire la vaisselle.
Pas vraiment le Club Med, n’est-ce pas ?
Les rapports d’avocats, relayés par Le Figaro, décrivent des conditions de détention où la chaleur étouffante et les punitions collectives sont la norme.
Certains détenus, comme Djamila Boutoutaou, gravement malade, crient au secours.
Ces Français, dont quatorze sont toujours incarcérés, ont vu leurs peines de mort commuées en prison à vie en 2023.
Certains dirons que ces conditions indignes justifient un minimum d’humanité, même pour des djihadistes…
Ce n’est pas mon cas. Pour moi ça sonne comme :
Ici, on nous traite comme des clodos dans une cage ! On n’a jamais voulu buter des Français pour un délire de dogme, nous. On rêvait juste du paradis, avec 72 vierges à l’accueil pour un plan caliente, voir juste sodomite.
Mais là, on bouffe des fayots dégueu, alors qu’en France – ce pays qu’on vomit – on pourrait se gaver de McDo tous les jours, tirer sur un joint, appeler la famille, chiller dans une piscine, et baiser pour pondre des gosses qui reprendront le combat contre ces porcs d’Occidentaux.Faites-nous revenir, sérieux ! On balance deux ou trois chefs qui se planquent en Syrie derrière des chèvres. Vous nous libérez cinq ou six ans plus tôt, vous nous filez la CAF pour qu’on se paye une kalach dans la cité. Et bim, on retourne à Paris, on allume tout le monde, ces cons de Français qui nous ont laissé rentrer pour leur mettre profond sans vaseline. Mourir pour des vierges ? Pourquoi ? Après ça, on retourne juste en taule version Club-Med, à se faire sucer entre deux pétards et une partie de FIFA sur console. Le paradis, c’est ici, chez vous les sales blancs et pas besoin de crever.
France : des prisons plus “confortables” et des questions brûlantes
Maintenant, transporte-toi dans une prison française. Certes, ce n’est pas un hôtel 5 étoiles, mais comparé à l’Irak, on dirait presque un palace.
Les détenus ont accès à des soins médicaux, des visites familiales, et des avocats qui veillent au grain, ils peuvent forniquer, faire des gosses et jouer à la PS5 que toi, tu n’as même pas les moyens de te financer…
Me Richard Sédillot, qui défend trois d’entre eux, argue que ce rapatriement faciliterait leur réinsertion et permettrait aux juges français de les interroger dans des enquêtes en cours.
Oué, donc là on peut sous-entendre une libération anticipée contre quelques renseignements ?
On aime se faire prendre à sec en France…mais là c’est carrément avec du gravillon…
Mais toi, tu te demandes sûrement comme moi : et si ces types, condamnés pour terrorisme, profitent de notre système judiciaire, jugé parfois trop laxiste, pour sortir plus tôt ?
C’est là que le bât blesse. La France, déjà débordée par des prisons surpeuplées, peut-elle se permettre de jouer les bons samaritains avec des gens qui détestent le pays ?
Darmanin : un pari politique risqué ?
Passons à Gérald Darmanin, qui, en annonçant ce rapatriement, semble marcher sur des œufs.
Les nationaux doivent terminer leur peine de prison en France
déclare-t-il, comparant cela à l’expulsion de criminels étrangers.
Logique diplomatique, peut-être, mais politiquement, c’est un terrain miné.
Toi, tu te dis peut-être : pourquoi ramener des individus qui ont trahi la France, risquant de les voir récidiver ?
Les avocats comme Marie Dosé insistent sur l’urgence humanitaire, mais le citoyen lambda, lui, craint que notre pays ne devienne une “poubelle” pour terroristes en quête de confort.
Et maintenant, on fait quoi ?
Évaluons ensemble : d’un côté, laisser ces djihadistes en Irak, c’est fermer les yeux sur des traitements inhumains et risquer des tensions diplomatiques.
De l’autre, les rapatrier, c’est prendre le risque de les voir bénéficier d’un système plus clément, avec un suivi incertain.
Darmanin a ouvert la boîte de Pandore, et toi, tu te retrouves à te demander si la France peut concilier justice, sécurité et humanité.
Une chose est sûre : cette histoire n’a pas fini de faire parler.