Catastrophe : j’ai demandé à GROK comment il voyait 20 chroniqueurs de TPMP !

Médias & Cinéma Sciences & Technologie
Temps de lecture : 5 minutes

L’énigme de l’invisibilité numérique à TPMP ou quand Grok éclaire les ombres de la notoriété

Une reconnaissance sélective dans l’ère de l’intelligence artificielle

Dans les méandres de l’intelligence artificielle, où les données tissent le fil de nos existences modernes, une expérience récente m’a conduit à interroger Grok, l’outil visionnaire de AI.

« J’ai demandé, pour voir s’il avait ces personnes dans sa base de données, à l’IA Grok de me faire le portrait des chroniqueurs de TPMP comme il les voyait par rapport à sa base de données…alors le résultat est flagrant, sur 20 chroniqueurs, il ne reconnaît que…Gilles Verdez.

Tous les autres chroniqueurs ne sont pas dans sa base de données et ne peuvent donc pas être appelés à figurer sur des images conçues par l’IA avec leur nom…
Seul Cyril Hanouna, le maître de cérémonie, est reconnu à 100%.
Cette découverte, aussi intrigante qu’un haïku laissé au bord d’un chemin, invite à une réflexion profonde sur la mémoire numérique et les hiérarchies invisibles qu’elle impose.

Pourquoi Gilles Verdez émerge-t-il de l’ombre ?

Pourquoi Gilles Verdez, parmi les vingt voix qui animent le plateau de Touche Pas à Mon Poste, se distingue-t-il comme l’unique chroniqueur reconnu par Grok ?
Peut-être faut-il chercher dans les traces qu’il a laissées dans le vaste océan des informations.
Connu pour ses prises de position tranchées, ses débats animés avec Cyril Hanouna ou ses incursions dans des polémiques médiatiques, Gilles Verdez semble avoir gravé son nom dans les annales digitales plus profondément que ses collègues.

Sa longévité dans l’émission, son passé de journaliste et ses frictions publiques pourraient avoir amplifié sa présence dans les bases de données accessibles à l’IA.
À l’inverse, les autres chroniqueurs, malgré leur talent ou leur visibilité, pourraient n’avoir laissé qu’une empreinte plus discrète, éclipsée par le bruit médiatique ou l’absence de récits personnels étoffés en ligne.

Et Cyril Hanouna, figure tutélaire de l’émission, incarne une notoriété écrasante, renforcée par son rôle de catalyseur et sa omniprésence dans les médias.

Une mosaïque d’absences et de présences

Cette reconnaissance sélective soulève une question philosophique : la notoriété est-elle une question de substance ou de reflet ?
Grok, dans sa quête de données, ne voit que ce que le monde lui offre à voir. Les portraits générés à partir du prompt « Chroniqueur de TPMP » révéleront ci-dessous cette étrange asymétrie : Gilles Verdez et Cyril Hanouna se dressent comme des phares, tandis que les autres s’effacent dans un silence numérique.
Peut-être que cette invisibilité est une bénédiction, un espace préservé loin des regards algorithmiques.

Ou peut-être qu’elle nous rappelle que la véritable essence d’un être échappe souvent aux machines.

Vers une méditation sur l’identité digitale

Cette expérience nous pousse à contempler notre rapport à la visibilité. Si Gilles Verdez brille par sa reconnaissance, n’est-ce pas aussi un appel à redéfinir la valeur d’une présence médiatique ?

Ci-dessous, je partage les images issues de cette exploration, où l’IA tente de donner forme à ces chroniqueurs à travers le prisme de son savoir.
Le prompt (commandes) imposé à Grok pour réaliser les portraits. Le même pour tous, avec juste les noms et prénoms changés à chaque demande.

Fais moi une image : En fond : un fond noir et uni. Zoom sur le visage. Fais le visage du chroniqueur de TPMP : XXX XXX en attitude neutre. Ce personnage tient une pancarte comme pour une photo de police avec le nom écrit dessus : « XXX XXX » devant lui au milieu de son corps et avec ses deux mains.

Entre lumière et ombre, cette quête révèle autant sur Grok que sur nous-mêmes, spectateurs d’un monde où l’identité devient un écho numérique.

Bon on  va commencer avec le chef quand même, reconnu bien évidemment par l’IA à chaque demande, pour le plus grand plaisir de la LFI…

Voici comment Grok voit et imagine les chroniqueurs de TPMP




















Le fiasco d’une symphonie inachevée

Que dire de ce fiasco, ce tableau bancal où, sur vingt âmes de chroniqueurs, une seule trouve grâce aux yeux de l’IA ?
Cette expérience, loin d’être une victoire de la technologie, résonne comme un requiem pour nos illusions.

Grok, dans son infinie sagesse artificielle, nous renvoie à notre propre chaos : un seul chroniqueur reconnu, Gilles Verdez, perdu dans l’immensité d’un silence numérique où les autres s’effacent comme des ombres au crépuscule.

C’est un miroir brisé, un éclat de vérité qui nous rappelle que les algorithmes ne captent que les reflets qu’on leur offre – et que, peut-être, cette éclipse collective est une danse sublime, un refus poétique de se plier aux jugements froids des machines.

Alors, rions de cette absurdité, pleurons son ironie, et cherchons ailleurs la lumière que les circuits ne savent pas voir.


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