Le média d’extrême-gauche StreetPress obligé de quitter ses locaux à cause de l’installation de migrants clandé

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L’extrême-gauche, les migrants et le boomerang qui fait mal

Une blague du Gorafi ? Non, la réalité dépasse la fiction

Quand j’ai lu ça, j’ai cru à une fake news bien saignante, un délire du Gorafi ou un sketch que même moi, dans ma rubrique humour bien barrée, j’aurais pas osé pondre.
StreetPress, le média autoproclamé porte-drapeau des causes perdues et des bons sentiments gauchistes, forcé de dégager de ses locaux à la Gaîté Lyrique à Paris parce que des migrants clandestins ont squatté le théâtre ?
Sérieux ? J’ai relu trois fois le titre, vérifié la date – 5 mars 2025, pas un poisson d’avril.

Non, c’est bien réel, et c’est tellement absurde que ça en devient poétique.

Les gentils sauveurs poignardés dans le dos

Remettons les choses dans l’ordre.
StreetPress, c’est ces chevaliers blancs de l’extrême-gauche, toujours prêts à tendre la main aux migrants, à crier « solidarité » et à vilipender la France rance qui ose poser des questions sur l’immigration.
Depuis décembre 2024, la Gaîté Lyrique, où ils avaient leurs bureaux, est occupée par 250 migrants – enfin, « plusieurs centaines » maintenant, parce que ça s’entasse comme dans un Tetris mal foutu.

La directrice du théâtre, Juliette Donadieu, a dit non à une expulsion proposée par la préfecture, soutenue par les camarades de StreetPress.
Résultat ? Le lieu ferme, 80 salariés au chômage partiel, et lesdits camarades priés de faire leurs valises en 48 heures chrono.

Le karma, ce vieux pote imprévisible, a décidé de frapper fort.
Soutenir les migrants, c’est cool sur Twitter, mais quand ils te virent de ton QG, ça pique un peu, non ? 😁

Un retour de bâton qui sent le vécu

C’est presque biblique, cette histoire.
Tu aides, tu donnes, tu prêches l’accueil inconditionnel, et bam, tu te prends le boomerang en pleine gueule.

StreetPress pleurniche maintenant sur les milliers d’euros de frais imprévus pour déménager, mais où est passée leur belle morale ?
Ils voulaient jouer les héros, ils ont juste oublié que dans la vraie vie, les héros finissent parfois à la rue.

Et pendant ce temps, les migrants, eux, restent bien au chaud dans le théâtre, sans douche ni eau potable, mais avec le pouvoir de faire plier ceux qui les ont défendus. Ironie, ton nom est France.

La France, terre d’accueil… pour qui, déjà ?

Cette farce tragique, c’est le miroir d’un pays qui a perdu les pédales.
La Gaîté Lyrique, un espace culturel, transformée en camp de fortune.

Des Français – salariés, journalistes, peu importe – dégagés pour laisser la place à des clandestins qui, soyons honnêtes, ont plus de droits que ceux qui payent des impôts ici.
On marche sur la tête (comme dirait Hanouna) : pendant que les gauchistes pleurent leur idéologie trahie, les migrants squattent, et les citoyens lambda regardent ce cirque en se demandant qui protège encore leurs intérêts.

La France, terre d’accueil ? Oui, mais pas pour les Français, apparemment.

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