Le patron de l’Arcom ? Un mec, mais attends, c’est le bordel

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Alors, qui est le grand manitou de l’Arcom, cet ovni bureaucratique pompeusement baptisé Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique ? Réponse du jour : Alban de Nervaux.
Le gars a chopé le fauteuil de directeur général le 1er juillet 2024, après avoir poussé dehors un certain Guillaume Blanchot – probablement parti rédiger ses mémoires sur les joies de la régulation.
Mais, attention, plot twist : Alban, c’est le mec qui gère le quotidien, pas le big boss qui pose pour les photos.
Ça, c’est Roch-Olivier Maistre, président depuis 2019, un rescapé de l’ère préhistorique qui doit plier bagage en février 2025.
D’ici quelques jours, donc, un nouveau sauveur, Martin Ajdari, prendra la pose, nommé par Sa Majesté Macron himself.

Un directeur, un président, et nous, paumés

Faut suivre, hein.
À l’Arcom, ils adorent brouiller les pistes : le « directeur », c’est soit le gars qui fait tourner la boutique (Alban de Nervaux, donc), soit le président qui fanfaronne devant les caméras (Roch-Olivier pour l’instant, bientôt Martin).
Là, comme t’as pas dit si tu voulais le gratte-papier ou le roi du PowerPoint, je mise sur Alban, le général en chef opérationnel à ce jour, 20 février 2025.
Mais si t’avais en tête le président qui parade, fais signe, je te refile le CV du prochain sur la liste.

Parce que, soyons honnêtes, entre les deux, c’est kif-kif : ils bossent tous pour un truc qui coûte 50 millions par an et qui sert à engueuler Hanouna ou à traquer les ados qui piratent Netflix.

Conclusion : légal, mais flou

Bref, Alban de Nervaux est aux manettes côté gestion, Roch-Olivier Maistre finit son tour de piste, et Martin Ajdari chauffe déjà le siège.
C’est légal, c’est officiel, c’est français : un mélange de clarté administrative et de foutoir institutionnel. Si t’as rien compris, c’est normal.

Moi non plus…
Wyylde

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