Ultimatum pour l’AlgĂ©rie : Macron baisse le pantalon et Bayrou est dans les choux

Politique Scandales
Temps de lecture : 3 minutes

Dans la tĂȘte de Macron : un prĂ©sident qui plie pour ne pas rompre ?


Qu’est-ce qui se trame dans le cerveau d’Emmanuel Macron, cet homme qui transforme la France en paillasson diplomatique face Ă  l’AlgĂ©rie ? On pourrait presque entendre les rouages : Ă©viter le clash, prĂ©server le gaz, flatter son ego de grand rĂ©conciliateur.
Les accords de 1968, ce vieux parchemin qui donne aux AlgĂ©riens un passe-droit sur le sol français, il n’y touche pas.

Pourquoi ? Parce que le gaz algérien chauffe nos radiateurs depuis que Poutine a fermé le robinet, pardi !

Et puis, il y a cette obsession de l’image : Monsieur a dit « crime contre l’humanité » en 2017, alors il ne va pas se dĂ©dire en claquant la porte Ă  Tebboune.
Résultat ? Il temporise, il dialogue, il capitule.
Pendant ce temps, les OQTF s’entassent, et Mulhouse pleure. StratĂ©gie ou faiblesse ?

À vous de juger, mais le tapis rouge est bien dĂ©roulĂ©.

Bayrou et Retailleau : les dindons de la farce

Et les ministres dans tout ça ?
Bayrou, le Premier ministre en sursis, avait joué les gros bras avec son ultimatum de « quatre à six semaines ». Raté.
Macron l’a dĂ©savouĂ©, et le voilĂ  qui bredouille des excuses sur un « audit interministĂ©riel ».
Pathétique.

Retailleau, lui, le flic de l’IntĂ©rieur, voulait cogner fort : finis les accords, basta les visas.
Mais le prĂ©sident l’a mouchĂ©, et il fulmine.

Imaginez la scĂšne : Retailleau qui claque la porte en hurlant « souverainetĂ© trahie ! », Bayrou qui tente de recoller les morceaux avec un sourire gĂȘnĂ©. Macron, lui, regarde ailleurs, un cafĂ© Ă  la main, l’air de dire : « Circulez, y’a rien Ă  voir. »

Et aprÚs ? Une tragédie en trois actes

Acte 1 : Retailleau, le martyr de la droite

Imaginons la suite. Retailleau, vexé, ne tient plus.
Il dĂ©missionne, bombe le torse sur BFMTV : « Je ne serai pas complice d’un prĂ©sident qui brade la France. »
La droite applaudit, Bardella ricane, et Macron perd un pion.
Le gouvernement Bayrou vacille, déjà fragile aprÚs la débùcle de 2024.
Les Républicains flairent le sang et se rapprochent du RN.
Retailleau, hĂ©ros autoproclamĂ©, se rĂȘve en 2027.

Acte 2 : Bayrou, le fusible qui grille

Bayrou, lui, est coincé.
Il veut sauver son poste, mais ses mots sonnent faux. « On travaille, on dialogue », bla bla bla. Personne n’y croit.
Si Retailleau part, il devient le bouc émissaire idéal.
Macron pourrait le virer pour calmer la tempĂȘte, mais avec qui le remplacer ?
Un éniÚme remaniement, un éniÚme fiasco.

L’ÉlysĂ©e ressemble Ă  une maison de cartes sous la pluie.

Acte 3 : L’AlgĂ©rie jubile, la France s’enlise

Pendant ce temps, Alger se frotte les mains.
Tebboune bombe le torse : « La France plie, pas nous. »
Ils coupent un peu de gaz, histoire de rappeler qui tient le manche.
Macron rĂ©duit les visas en douce, mais sans toucher aux accords – trop peur du scandale.

RĂ©sultat ? Une crise qui pourrit, un prĂ©sident qui s’isole, et un peuple qui gronde.
D’ici l’étĂ© 2025, le gouvernement tombe, et les accords de 1968, intouchables sous Macron, seront peut-ĂȘtre renĂ©gociĂ©s
 par un autre.

Le mot de la fin

Macron joue les équilibristes, mais il glisse.
Bayrou et Retailleau, désavoués, préparent leurs couteaux.
L’AlgĂ©rie, elle, dicte sa loi.

La France ? Elle regarde, hĂ©bĂ©tĂ©e, son prĂ©sident tendre l’autre joue.
Rideau.


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