Portrait psychologique d’Agathe Hilairet : une analyse IA de ses dessins et photos Instagram
Je vous propose de découvrir le portrait psychologique d’Agathe Hilairet, cette jeune femme de 28 ans tragiquement disparue, à travers une analyse de ses dessins et photos partagés sur son compte Instagram @menthee03
Avant d’être un faits d’hiver qui commence à passionner toute la France, Agathe était avant tout une jeune femme. Désireux d’en savoir plus sur son tempérament, j’ai décidé d’aller un peu plus loin que l’aspect informatif de l’enquête…de m’intéresser à elle et à l’héritage qu’elle a laissé sur Internet.
C’est tout naturellement que je me suis tourné vers on grand livre ouvert au monde, son compte instagram où elle publiait de nombreux dessins qu’elle réalisait.
Et comme je ne suis pas psychologue, et bien j’ai demandé de l’aide…
Pour réaliser cette étude, j’ai sollicité Grok 3, une intelligence artificielle développée par xAI, afin d’explorer les thèmes, les couleurs et les messages véhiculés par son contenu visuel.
Alors que son décès, survenu après sa disparition le 10 avril 2025, fait l’objet d’une enquête en cours, ses publications offrent un éclairage poignant sur une personnalité créative, sensible et complexe.
Les dessins : un refuge dans la pop culture
Les dessins d’Agathe Hilairet formaient le cœur de son compte Instagram, représentant une part significative de ses 278 publications.
Selon l’analyse de l’IA, ses œuvres s’inspiraient principalement de la pop culture, avec une prédilection pour les mangas, les dessins animés et le jeu vidéo Animal Crossing.
Elle représentait des personnages stylisés aux traits expressifs – grands yeux, expressions mélancoliques ou joyeuses – et des scènes bucoliques, comme des paysages ou des intérieurs cozy tirés d’Animal Crossing.
Ces thèmes suggèrent une personnalité créative, attirée par des univers fictifs offrant évasion et réconfort.
L’IA note que ce choix reflétait probablement un besoin de s’extraire d’une réalité marquée par son combat contre l’anorexie, qu’elle partageait parfois dans ses textes.
La précision de ses lignes et la douceur de ses compositions trahissaient une discipline artistique et une sensibilité profonde.
Les couleurs : une palette entre douceur et contrastes
La palette de couleurs des dessins et photos d’Agathe était dominée par des tons pastel – menthe, rose pâle, bleu clair, beige – qui conféraient une atmosphère apaisante à son contenu.
Dans ses dessins, ces teintes soulignaient la délicatesse de ses personnages et décors, tandis que ses photos, souvent des autoportraits ou des paysages, utilisaient ces mêmes couleurs pour créer une esthétique cohérente.
L’IA interprète cette préférence comme un désir de transmettre sérénité et harmonie, peut-être en réponse à une fragilité émotionnelle.
Cependant, des touches de couleurs vives – rouge, jaune – apparaissaient parfois dans ses dessins, signalant des éclats d’optimisme ou d’énergie créative.
Ce contraste entre douceur et accents audacieux suggère une personnalité oscillant entre introspection et moments de vitalité.
Les photos : une mise en scène de soi et du monde
En complément de ses dessins, Agathe partageait des photos, principalement des autoportraits, des paysages et des moments du quotidien.
L’IA observe que ses autoportraits, souvent pris dans des décors naturels ou urbains, mettaient en avant une image soignée mais naturelle, avec des poses spontanées. Ces images, accompagnées de légendes positives ou introspectives, révélaient une personnalité extravertie, à l’aise avec son image publique, mais aussi désireuse de partager ses émotions.
Ses photos de paysages – forêts, plages, villes – reflétaient une curiosité pour le monde et un goût pour l’exploration, suggérant une quête de liberté.
La cohérence esthétique entre ses dessins et ses photos, marquée par les tons pastel, renforçait l’idée d’une identité visuelle forte, soigneusement construite.
Une sensibilité dévoilée dans un contexte tragique
Les publications d’Agathe, qu’il s’agisse de dessins ou de photos, laissaient transparaître une sensibilité affirmée, confirmée par des descriptions de proches la dépeignant comme « très sensible et fragile ».
L’IA note que ses dessins, souvent tournés vers des univers fictifs, et ses photos, mêlant introspection et ouverture au monde, formaient un équilibre entre évasion et ancrage dans la réalité. Son combat contre l’anorexie, évoqué dans certaines publications, ajoutait une dimension de vulnérabilité à son image publique, contrastant avec l’optimisme de son contenu visuel.
Cette dualité enrichit le portrait d’une jeune femme à la fois forte dans sa créativité et marquée par des luttes intérieures.
Les limites d’une analyse numérique
L’IA souligne que cette analyse, bien qu’éclairante, repose sur une vitrine numérique où Agathe contrôlait son image.
Les dessins et photos, aussi expressifs soient-ils, ne dévoilent qu’une facette de sa personnalité, filtrée par les codes des réseaux sociaux.
Sans accès à des témoignages directs ou à des détails sur sa vie privée, ce portrait psychologique reste partiel.
De plus, l’enquête sur son décès, mentionnée dans mes articles récents, limite les informations disponibles, incitant à la prudence face à toute conclusion définitive.
Ce travail offre néanmoins un témoignage précieux des traces qu’Agathe a laissées.
L’analyse de Grok 3 dessine le portrait d’Agathe Hilairet comme une jeune femme créative, sensible et curieuse, dont les dessins et photos sur Instagram continuent de captiver.
Alors que l’enquête sur sa disparition se poursuit, ces créations numériques restent un écho vibrant de son univers.
Quoi qu’il en soit, cette affaire déchirante doit absolument avoir sa conclusion, je m’y intéresse beaucoup et adresse personnellement toutes mes condoléances à sa famille.
Si vous avez connu Agathe ou souhaitez partager vos impressions sur son art, laissez un commentaire ci-dessous.
Crédits photo : Instagram
