Mort du pape François le lundi de Pâques : une nouvelle qui m’a secoué
Un lundi de Pâques pas comme les autres
Ce lundi de Pâques 2025, j’étais tranquillement en train de digérer mon overdose de chocolat quand mon téléphone a vibré.
Une notification du Figaro :
Le pape François est décédé, a annoncé le Vatican ce dimanche 21 avril, le lendemain de son apparition sur le balcon de la Basilique Saint-Pierre.
J’ai failli recracher mon café. Le pape François, mort ? Juste après Pâques ?
C’est comme si le ciel avait décidé de me jouer un tour cosmique. Cette nouvelle m’a frappé comme un éclair dans un ciel bleu, et je me suis senti obligé de creuser pour comprendre.
Pourquoi cette annonce m’a bouleversé
Je ne suis pas le catholique le plus pratiquant – disons que ma dernière messe remonte à un mariage un peu trop arrosé – mais le pape François, c’était différent.
Ce type avait une vibe cool, un peu comme un grand-père qui te glisse un billet en cachette.
Ses prises de position sur l’écologie, la justice sociale, et même ses appels à plus d’humanité m’avaient toujours touché.
Alors, apprendre sa mort le lundi de Pâques, jour de renouveau et de résurrection, ça m’a fait un pincement au cœur. J’ai repensé à ses sourires chaleureux et à ses mots simples qui, mine de rien, m’avaient parfois fait réfléchir.
Le contexte de sa disparition
D’après ce que j’ai lu, le pape François était apparu affaibli mais souriant sur le balcon de la Basilique Saint-Pierre la veille, pour la bénédiction pascale.
Personne n’aurait parié qu’il partirait si vite. Les rumeurs sur sa santé circulaient depuis un moment – une pneumonie l’avait cloué à l’hôpital début avril, selon Vatican News – mais il semblait en voie de guérison.
Cette mort soudaine à 88 ans, c’est un peu comme si le Vatican avait perdu son capitaine en pleine tempête. Et moi, je me retrouve à me demander ce que ça veut dire pour l’avenir de l’Église.
Mon moment de réflexion (et d’humour)
Assis sur mon canapé, je me suis mis à imaginer le pape François arriver au paradis, lançant un clin d’œil à Saint-Pierre : « Alors, Pierre, on valide ma fiche ? »
Plus sérieusement, cette nouvelle m’a poussé à réfléchir à la fragilité de la vie.
Même un pape, avec toute sa grandeur, peut partir d’un coup. Ça m’a donné envie de profiter des miens et de ne pas trop me prendre la tête avec les petits tracas quotidiens.
Après tout, si même le pape ne peut pas négocier un rab de temps, qui suis-je pour râler contre une facture salée ?
Et maintenant, quoi ?
La mort du pape François va forcément secouer le monde catholique.
Un conclave va s’organiser, et je parie déjà sur les débats enflammés pour choisir son successeur.
Est-ce qu’on aura un pape aussi progressiste, ou quelqu’un de plus traditionnel ? En attendant, je vais garder un œil sur les nouvelles du Vatican, tout en me disant que François, là-haut, doit déjà être en train de négocier pour un monde meilleur. Cette perte me touche, mais elle me rappelle aussi de vivre pleinement, avec un peu d’humour et beaucoup de cœur.
Crédits photo : ALBERTO PIZZOLI / AFP