Intelligence artificielle : ton métier est-il menacé par les robots ?
Salut, c’est moi, en train de me demander si un robot va bientôt me piquer ma chaise de bureau ou, pire, mon café du matin.
Depuis que l’intelligence artificielle a débarqué avec ses gros sabots (ou plutôt ses algorithmes clinquants), tout le monde se pose la question :
Est-ce que mon job est sur la sellette ?
Et quand Bill Gates himself s’en mêle, autant te dire que ça fait tilt dans ma tête.
Alors, je me suis penché sur ses dernières déclarations, et crois-moi, il y a de quoi rire… ou trembler.
Quand Bill Gates joue les Nostradamus de l’IA
Sur le podcast People by WTF (oui, le nom est déjà un programme), Gates a lâché une bombe : l’intelligence artificielle pourrait remplacer des métiers qu’on pensait intouchables, comme prof ou médecin.
Moi, naïf, je me disais que ces jobs étaient à l’abri, genre blindés derrière un diplôme en béton armé.
Mais non, apparemment, l’IA arrive avec ses diagnostics plus rapides qu’un épisode de Dr House et ses cours en ligne mieux ficelés que ma vieille prof de maths (désolé, Mme Ducon).
Mais attends, Bill voit ça comme une bonne nouvelle. Selon lui, l’intelligence artificielle pourrait combler le manque de pros dans des coins du monde où les médecins se font plus rares que mes chaussettes après une lessive.
Par exemple, en Inde ou en Afrique, où les hôpitaux crient famine de blouses blanches. Et même aux États-Unis, où un rapport de l’Association of American Medical Colleges souligne qu’il manque des centaines de milliers de médecins pour soigner tout le monde équitablement.
Bon, d’accord, Bill, je veux bien te suivre… mais quand même, ça fout les jetons.
Les robots envahissent les usines (et pas que)
Et puis, il y a les métiers plus « terre-à-terre ». Ouvriers d’usine, agents d’entretien, équipes de construction : tous dans le viseur de l’intelligence artificielle et de ses copains robots humanoïdes. Tu savais que des boîtes comme Nvidia bossent sur des machines qui commencent à avoir l’air plus vraies que mes voisins ?
Gates, lui, est optimiste :
On aura des robots avec des mains super agiles, et ça va libérer du temps pour les humains.
Génial, non ? Imagine : une retraite anticipée, des semaines de trois jours, et moi qui sirote un mojito pendant qu’un robot tond ma pelouse.
Mais soyons sérieux deux secondes (pas plus, promis). Si tout ça semble cool sur le papier, encore faut-il que l’argent généré par ces technos ne finisse pas uniquement dans les poches des big boss.
Parce que, franchement, si l’intelligence artificielle me pique mon job et que je me retrouve à tricoter des chaussettes pour arrondir mes fins de mois, je vais pas kiffer.
Bill Gates, le roi de la contradiction ?
Le plus marrant, c’est que Gates souffle le chaud et le froid.
D’un côté, il nous tease un futur où l’intelligence artificielle remplace profs, médecins et ouvriers.
De l’autre, il jure ses grands dieux que l’IA ne va pas causer un chômage de masse.
Son exemple ?
Les joueurs de baseball. Apparemment, personne n’a envie de voir un robot frapper des home runs.
Et là, je me dis :
Bill, t’es sérieux ? Les joueurs de baseball, c’est TON argument ?
Moi, je veux bien, mais je ne suis pas sûr que ça rassure mon pote Kevin, qui bosse à l’usine.
Bref, entre ses visions utopiques et ses petites contradictions, Gates nous laisse avec plus de questions que de réponses.
Est-ce que l’intelligence artificielle va vraiment bouleverser mon quotidien ?
Est-ce que je vais devoir apprendre à coder pour ne pas finir dépassé par un algorithme ? Ou est-ce que je peux continuer à binge-watcher ma série préférée sans paniquer ?
Pour l’instant, je garde un œil sur ces robots, mais je ne range pas encore mon CV au placard.
Et toi, t’en penses quoi ? Ton job est-il dans le collimateur de l’intelligence artificielle ?
Viens m’en parler, on rigolera bien en imaginant un monde où les robots font tout… sauf payer les impôts.
