Astérix et Obélix : le combat des chefs, une série animée à ne pas manquer le 30 avril sur Netflix
Dans 15 jours, je vais me poser devant Netflix, prêt à plonger dans une aventure qui sent bon la potion magique et les baffes aux Romains.
« ASTÉRIX & OBÉLIX : Le Combat des Chefs », la série animée d’Alain Chabat, débarque le 30 avril, et je peux te dire que l’excitation est à son comble.
Toi aussi, t’as grandi avec ces Gaulois qui défient César à coups de menhirs et d’humour ? Alors, viens, on va explorer ensemble ce qui nous attend dans cette pépite animée, et pourquoi je suis déjà convaincu que ça va être un carton.
Alain Chabat, le druide de l’humour gaulois
Quand j’ai appris qu’Alain Chabat était aux manettes, j’ai tout de suite su que cette série animée allait avoir une saveur particulière.
Ce mec, c’est un génie. Souviens-toi de Mission Cléopâtre en 2002, ce film qui m’a fait hurler de rire avec des répliques que je ressors encore dans les soirées.
Cette fois, il revient avec une série animée en 3D, et pas n’importe laquelle : une adaptation de l’album Le Combat des Chefs de Goscinny et Uderzo.
Chabat ne fait pas les choses à moitié. Il co-réalise avec Fabrice Joubert, un as de l’animation passé par Les Minions, et s’entoure d’une équipe de Toulouse, chez TAT Productions, pour donner vie à nos héros.
Ce que j’aime, c’est qu’il a voulu coller au style d’Uderzo des années 60-70, cette époque où les dessins avaient une âme unique.
Franchement, rien que d’y penser, j’ai envie de courser un sanglier dans la pampa derrière chez moi.
Une histoire qui cogne fort
L’intrigue, parlons-en, même si on connait déjà depuis belle lurette la trame de l’histoire…
Imagine : Panoramix, le druide star, se prend un menhir sur le crâne – merci Obélix, toujours aussi délicat.
Résultat ? Il perd la mémoire et, pire, la recette de la potion magique.
C’est le moment que choisissent les Romains pour lancer un défi tordu : un « combat des chefs » entre Abraracourcix et Aplusbégalix, un Gaulois vendu à César.
Si notre chef préféré perd, le village passe sous contrôle romain. Autant te dire que ça sent la baston et les plans foireux d’Astérix pour sauver la mise.
Ce qui me fait kiffer, c’est que cette série animée promet de rester fidèle à l’album tout en y glissant des surprises.
Chabat a même ajouté des flashbacks sur l’enfance d’Obélix – oui, le moment où il tombe dans la marmite, on va enfin le voir !
Un casting vocal qui envoie du lourd
Côté voix, c’est un festival. Alain Chabat prête son timbre à Astérix, et rien que ça, ça me donne des frissons.
Gilles Lellouche, qui avait déjà enfilé les braies d’Obélix dans L’Empire du Milieu, revient pour faire rugir notre livreur de menhirs.
Et attends, c’est pas fini : Laurent Lafitte en César, Anaïs Demoustier, Géraldine Nakache, Thierry Lhermitte en Panoramix, et même Jérôme Commandeur qui joue… la mère de César !
Je te jure, quand j’ai lu ça, j’ai failli recracher ma bière.
Ce casting (extrait ci-dessous), c’est comme une tablée de Gaulois avant un banquet : ça promet du bruit et des éclats de rire.
🇨🇵 Voici les premières images des coulisses du doublage d’Alain Chabat sur Astérix ! 🔥 pic.twitter.com/XBoboebqbe
— Bastien D. Fry (@BastienDruker) April 14, 2025
Une série animée qui va parler à tout le monde
Ce qui me touche, c’est que cette série animée s’adresse à tous. Si t’as grandi en lisant les BD sous la couette, tu vas retrouver l’esprit malicieux de Goscinny, ces blagues qui tapent juste et ces clins d’œil à la société. Si t’es plus jeune, l’animation 3D moderne et l’humour de Chabat vont te happer direct. Moi, j’ai des souvenirs d’enfance où je feuilletais Le Combat des Chefs en rigolant devant les grimaces des Romains. Alors, savoir que je vais revivre ça en version animée, ça me met une claque de nostalgie. Et puis, avoue, on a tous besoin d’un peu de légèreté en ce moment, non ? Une bonne dose de Gaulois qui cassent tout, ça fait du bien.
Pourquoi Netflix a tout compris
Netflix, ils savent y faire. Sortir cette série animée le 30 avril, c’est pile le moment où on a envie de se poser après un début d’année chargé. Cinq épisodes de 30 minutes, c’est parfait pour un marathon en solo ou avec des potes. Ce que j’apprécie, c’est qu’ils ont mis les moyens : une prod’ soignée, un doublage de luxe, et une diffusion mondiale dans 190 pays avec 39 langues au compteur. Moi, je vais la mater en VF pour savourer chaque vanne, mais savoir que même un mec à Séoul ou à Rio va pouvoir kiffer Astérix, ça claque. D’ailleurs, j’ai déjà activé le rappel sur Netflix, pas question de louper ça.
Les premières réactions qui donnent envie
J’ai fouillé un peu sur le web, et les retours du festival Séries Mania à Lille, où ils ont montré trois épisodes en avant-première, sont dithyrambiques. Les spectateurs parlent d’une animation « sublime », avec des gags à chaque plan et un respect total de l’œuvre originale. Un article de Ouest-France cite des fans qui disent avoir « retrouvé leurs 8 ans » devant l’écran. Ça, c’est le genre de truc qui me fait trépigner. Et puis, il y a cette scène avec Panoramix et un menhir qui a l’air d’avoir marqué tout le monde. Vivement que je découvre ça !
Sans arêtes, promis.
ASTÉRIX & OBÉLIX : Le Combat des Chefs, la série d’animation d’Alain Chabat, le 30 avril sur Netflix. pic.twitter.com/qGcT9kjogC
— Netflix France (@NetflixFR) April 14, 2025
Mon pari pour le 30 avril
Si je devais parier, je dirais que cette série animée va être un des gros coups de Netflix en 2025. Pourquoi ? Parce que Chabat a ce don de transformer tout ce qu’il touche en or. Parce que Astérix et Obélix, c’est intemporel, ça parle au gamin en moi comme à l’adulte que je suis. Et parce que, franchement, qui n’a pas envie de voir des Romains voler dans les airs avec une bonne dose d’humour ? Le 30 avril, je serai là, prêt à me marrer, à vibrer, et peut-être même à chanter « Rome Sweet Rome » sous la douche après. Toi, t’en seras ?
