Microsoft Recall : la mémoire numérique qui divise en 2025

Oh punaise ! Le titre Pute Ă clic que j’ai placĂ© sur le post X et Facebook!
« Recall : Microsoft invente (enfin) la machine Ă remonter le temps !« đ
Je m’en excuse mais c’Ă©tait trop tentant !
â±ïžlecture : 3 min | #Technologie & #Innovation
⟠Recall : Microsoft invente (enfin) la machine Ă remonter le temps ! #MicrosoftRecall #ViePrivĂ©e #NumĂ©rique #Windows11 #Billgates #Recall #Windows #Miseajourhttps://t.co/JiSwXCRCyTâ đ°Le Bl@g de Fđ€Șu ! (@leBlogdeFou) April 12, 2025
Mais bon passons…
Câest reparti pour un tour dans le grand cirque technologique !
Microsoft, avec son Recall, nous balance une fonctionnalitĂ© qui intrigue autant quâelle agace.
Imaginez : votre PC qui joue les paparazzis, capturant votre écran toutes les cinq secondes pour créer une sorte de journal visuel de votre vie numérique.
Une meilleure maniĂšre de se rappeler de nâimporte quoi
clame Microsoft.
Sur le papier, ça sonne comme un superpouvoir. En vrai, ça fait grincer des dents.
Un lancement qui joue la prudence
Depuis avril 2025, Microsoft déploie Recall progressivement auprÚs des Windows Insiders.
Ce nâest pas un sprint, mais une marche prudente. Faut dire que lâoutil a dĂ©jĂ un passif digne dâun soap opera : annoncĂ© en fanfare pour les PC Copilot+ en juin 2024, repoussĂ© Ă lâautomne, puis promis pour dĂ©cembre, Recall a fait plus de dĂ©tours quâun taxi parisien. (du coup ça porte bien son nom finalement non ? đ)
Pourquoi tant de chichis ? Parce que la confidentialité, mes amis, ça ne rigole pas.
Les critiques ont fusé, et Microsoft a dû revoir sa copie pour éviter de se retrouver dans le viseur des défenseurs de la vie privée.
Recall : un concept sĂ©duisant, mais…
Le principe de Recall, câest de transformer votre PC en machine Ă remonter le temps.
Chaque clic, chaque page, chaque moment est capturé, analysé par une puce NPU, et stocké bien au chaud sur votre disque dur.
Besoin de retrouver ce mail que vous avez zappé ou cette image que vous avez vue il y a trois semaines ? Recall vous sort tout ça comme un magicien.
Cool, non ? Sauf que cette mĂ©moire numĂ©rique soulĂšve des questions. Est-ce quâon veut vraiment un logiciel qui joue les espions dans notre dos ?
MĂȘme si Microsoft jure que tout reste local et chiffrĂ©, protĂ©gĂ© par Windows Hello et une authentification biomĂ©trique, des doutes persistent.
Des tests montrent que Recall peut encore enregistrer des infos sensibles â numĂ©ros de carte bancaire, identifiants â dans certaines situations.
Pas trÚs rassurant, hein ? Microsoft promet des filtres automatiques pour bloquer ces données, mais on dirait un pansement sur une jambe de bois.
Les utilisateurs doivent volontairement choisir dâutiliser Recall pour sauvegarder des instantanĂ©s
insiste la firme.
OK, mais quand on sait que beaucoup cliquent sur « accepter » sans lire, on peut se poser des questions.
Des bonus qui veulent séduire
Pour enrober le tout, Microsoft a ajoutĂ© des fonctionnalitĂ©s sympas, comme Click to Do, qui permet de copier du texte ou dâinteragir directement avec vos captures.
Pratique, mais est-ce que ça vaut le coup de sacrifier un bout de votre vie privée ?
Parce que, soyons clairs, Recall a besoin dâespace : 256 Go de stockage minimum, dont 50 Go libres, et par dĂ©faut, il bouffe 25 Go pour trois mois dâhistorique.
Votre disque dur risque de faire la grimace.
2025 : lâannĂ©e du grand saut ?
Microsoft semble décidé à imposer Recall, malgré les controverses.
AprĂšs des tests limitĂ©s fin 2024, le dĂ©ploiement sâaccĂ©lĂšre, et la compatibilitĂ© sâĂ©tend aux PC Intel et AMD, plus seulement aux Snapdragon.
Mais franchement, on est en 2025, et les gens commencent à en avoir marre des gadgets qui promettent monts et merveilles tout en jouant avec leurs données.
Recall, câest un peu comme un dessert trop sucrĂ© : ça fait envie, mais on se demande si ça vaut le risque.
Alors, on fait quoi ? On plonge tĂȘte baissĂ©e dans cette mĂ©moire numĂ©rique, ou on attend que Microsoft prouve quâil a vraiment rĂ©glĂ© les problĂšmes ?
Une chose est sĂ»re : Recall nâa pas fini de faire parler. Et moi, je garde les yeux grands ouverts.