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✊Quand l’intelligence artificielle défie la mort et façonne un espoir face à la maladie de Charcot

Retour en arrière, 5 février 2025, Tech & Fest.
Une scène qui cogne, des spots qui te crament la rétine, et deux âmes qui refusent de crever sans se battre.
Lorène et Nicolas, rongés par la maladie de Charcot, balancent un uppercut au destin :

On veut vivre, bordel !

Et là, au milieu des nerds en hoodie et des start-uppers gavés d’ambition, une asso lâche une bombe : appeler l’intelligence artificielle à dégainer un traitement contre cette saleté de SLA qui te transforme en statue vivante.

La grande faucheuse en mode turbo

La maladie de Charcot, c’est pas une petite toux qui passe avec du miel.
Elle te flingue les neurones moteurs, te coupe les jambes, te scotche la langue, te vole ton dernier souffle.
Un compte à rebours dégueulasse qui te donne deux, trois ans, cinq si t’as un bon karma.
Pendant que les labos rament dans leurs fioles, l’intelligence artificielle débarque comme une rockstar, prête à faire sauter les cadenas de ce cauchemar.

Les cerveaux artificiels contre les corps brisés

Des machines qui turbinent plus vite que ton dealer du coin : l’intelligence artificielle, c’est des lignes de code qui bouffent des téraoctets de données, qui flairent des pistes là où les blouses blanches s’arrachent les tifs.
Dénicher une molécule, tester un truc, exploser les délais : elle sait faire.
Des boîtes comme xAI, elles dorment pas, elles codent pour la survie.
Et si c’était le ticket gagnant pour la SLA ?

Les damnés ont la parole

Lorène et Nicolas, c’est pas des ombres qui passent.
Ils ont le feu au bide, des mots qui te claquent comme des droites. « On veut vivre », qu’ils gueulent, et t’as pas le cœur de zapper.
La SLA leur grignote tout, mais pas leur flamme. Ils misent sur l’IA, sur ces algos qui pourraient leur filer un sursis, une revanche.
Derrière eux, des milliers d’autres crèvent d’espoir pour le même coup de poker.

L’IA, un flingue chargé contre la SLA ?

Et si l’intelligence artificielle était plus qu’un rêve de geek ?
Les toubibs et les codeurs commencent à causer sérieusement. Des études, y’en a qui pointent le bout de leur nez.
Aux States, ils balancent déjà l’IA sur des bases de données énormes pour choper des molécules qui pourraient vaincre la SLA.

Une étude de Nature.com montre que l’IA peut décrypter les protéines foireuses, comme la SOD1, qui déraillent dans la maladie de Charcot.
Comment ? Elle simule des réactions chimiques en deux temps trois mouvements, là où les humains mettraient des décennies à poser leurs lunettes.

En France, l’ARSLA, ces warriors de la recherche, parle de gagner « 20 ou 30 ans » avec l’IA.
L’idée, c’est de classifier les formes de SLA, de balancer des traitements sur mesure, de pas juste regarder le train passer.
Réaliste ? Ouais, si on met le pognon et les cerveaux dessus.
Positif ? Clair, ça peut accélérer le schmilblick, mais faut pas se voiler la face : c’est pas demain qu’on sabre le champagne.
La SLA reste une teigne, et l’IA, c’est pas encore le messie.
Juste une balle dans le chargeur.

Alors, on bouge ou on crève ?

L’appel du Tech & Fest, c’est pas une carte postale mignonne.
C’est un coup de latte dans le cul des génies de la tech. L’intelligence artificielle, c’est pas juste pour te spammer de pubs ou te pondre des playlists.
C’est une arme, et faut qu’elle tape là où ça compte.

Pour Lorène, pour Nicolas, pour tous ceux que la SLA enchaîne.
On n’a plus le luxe de traîner, chaque seconde est un pas vers le néant. Alors, les codeurs, les rêveurs, les faiseurs : au boulot.

Que l’IA soit le poing qui défonce ce mur.