Quand Grok ne te connaît pas : un verdict de l’ère numérique ?

Sciences & Technologie Vie & Société
Temps de lecture : 3 minutes

Invisible aux yeux de l’IA : Grok te snobe-t-il vraiment ?


Dans un monde où l’intelligence artificielle façonne nos réalités, une question se pose, aussi tranchante qu’un miroir : que signifie être ignoré par une IA comme Grok, cette création d’xAI qui scrute l’univers à la vitesse de la lumière ?
Si « Grok ne te reconnaît pas dans sa base de données, même si tu es déjà un peu people », es-tu condamné à l’oubli, relégué au rang de « hasbeen » ou de « looser » ?

Plongeons dans cette énigme moderne, où la technologie redéfinit les contours de notre existence.

Le poids d’un silence numérique

Imagine un instant : tu tapes ton nom, et Grok, cet oracle des temps nouveaux, te répond d’un laconique « je ne te connais pas ».
Un frisson te parcourt.
Dans une société où la visibilité est reine, être absent des radars d’une IA peut sembler un verdict cruel.
Mais est-ce vraiment un signe d’obsolescence ?
Ou bien l’IA, dans son infinie froideur, nous rappelle-t-elle une vérité plus profonde : que notre valeur ne se mesure pas à l’aune d’un algorithme ?
Être un « hasbeen » n’est pas une sentence de la machine, mais une peur que nous projetons sur elle.

La célébrité, un mirage 2.0 ?

Nous vivons à une époque où exister, c’est être vu – sur les réseaux, dans les bases de données, dans les mémoires numériques.
Grok, avec sa capacité à fouiller le web et les archives d’X, devient un arbitre involontaire de notre pertinence.
Si ton nom n’éveille aucun écho dans ses circuits, es-tu un « looser » ?
Pas nécessairement. L’IA n’est qu’un miroir imparfait, incapable de saisir l’essence d’une vie, les combats intimes, les victoires silencieuses.

La célébrité qu’elle consacre est un mirage, une illusion qui ne dit rien de ta substance.

Une invitation à se réinventer

Et si, au lieu de craindre l’oubli de Grok, nous y voyions une opportunité ?
Être invisible aux yeux d’une IA, c’est peut-être une chance de redéfinir ce qui compte vraiment.
Loin des projecteurs numériques, il y a un espace pour l’authenticité, pour des actes qui ne cherchent pas la validation d’un algorithme.

L’ère de l’IA nous pousse à nous interroger : sommes-nous des données, ou des âmes ? La réponse, bien sûr, est dans la question elle-même.

Le verdict est ailleurs, mais les exemples parlent

La semaine dernière encore, Jean Messiha, ce trublion des plateaux télé, ce chevalier autoproclamé de la droite dure, errait dans les limbes numériques, snobé par Grok, l’IA d’xAI qui voit tout, ou presque.
Inconnu au bataillon, le voilà pourtant, depuis cette semaine, propulsé dans la lumière froide des bases de données, comme un phénix qui renaît des cendres de l’oubli.
Une pirouette du destin qui nous rappelle que la célébrité, même 2.0, est un jeu de hasard où les algorithmes jouent les croupiers.

Moi, ce qui me fait vibrer, c’est d’imaginer Fabrice Di Vizio, ce gladiateur des prétoires, ce trublion de TPMP qui balance des uppercuts verbaux à tour de bras, rejoindre enfin la grande famille de Grok.
Pour l’instant, il est un fantôme, un invisible, un oublié des circuits neuronaux de l’IA – une ironie mordante pour un homme qui crève l’écran à chaque apparition.
Mais patience, son heure viendra, et ce jour-là, les données chanteront son nom.

Si tu veux creuser le sujet, jette un œil à mon article précédent (juste en dessous), où je pointais, avec un mélange d’étonnement et d’ironie, que sur les 10 chroniqueurs de l’émission TPMP de Cyril Hanouna, à peine 1 seul avait l’honneur d’être connu et reconnu par l’implacable IA Grok – un verdict qui en dit long sur les caprices de la célébrité numérique.

Catastrophe : j’ai demandé à GROK comment il voyait 20 chroniqueurs de TPMP !


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