Je ne suis pas complotiste, je suis juste peut-être visionnaire (où probablement plus clairvoyant que certains)
Quand la peur devient l’arme d’une démocratie en péril
Un pressentiment qui ne trompe pas
Je ne suis ni prophète ni fabulateur.
Je suis un esprit pragmatique (ou peut-être un fou non diagnostiqué), doté d’une inclination à voir au-delà des apparences, là où d’autres s’arrêtent à la surface polie des événements.
Depuis deux mois, une intuition s’impose à moi, aussi évidente qu’une ombre portée par le soleil : les élections de 2027 se préparent dans l’obscurité d’une mécanique bien huilée.
Non, je ne parle pas de complot, mais d’une stratégie philosophique où la peur devient le levier d’une soumission collective.
Nous l’avons déjà vécu, souvenez-vous, avec le Covid et ses confinements – une répétition, peut-être, pour ce moment précis où la France pourrait basculer dans l’inimaginable.
Machiavel : celui qui contrôle la Peur des gens devient le maître de leurs âmes
Première étape : semer la frayeur
Tout débute par une crise, un danger brandi comme une épée de Damoclès.
Aujourd’hui, c’est la guerre en Ukraine qui joue ce rôle.
Macron, avec son soutien ostensible à Kiev, titille la Russie : sabotage des traités de paix, gel des avoirs russes pour financer l’armement ukrainien avec l’argent de Moscou.
Imaginez : vous divorcez, la justice vous autorise à garder vos économies et vos revenus parce que votre femme gagne 10 fois plus que vous et qu’elle ne peut donc prétendre à une pension alimentaire. Cette décision de justice qui vous est favorable transforme donc cet argent sur votre compte en plan épargne pour votre retraite.
Et soudain, l’amant de votre ex qui vit avec elle pirate votre compte pour tout lui reverser.
C’est un peu ce qu’a fait Macron ce week-end avec les avoirs russes.
Pendant deux ans, ces coups d’éclat vont se multiplier, préparant le terrain pour l’article 16.
Mais qu’est-ce que l’article 16 ? Intégré à la Constitution de 1958, il permet au président, en cas de « menace grave et immédiate » sur les institutions ou l’indépendance nationale, de s’octroyer les pleins pouvoirs, suspendant le fonctionnement normal des institutions. Son usage est rare – De Gaulle l’a activé en 1961 lors du putsch des généraux en Algérie, pendant cinq mois – mais rien n’en limite la durée, laissant un président en place aussi longtemps que la « crise » perdure, potentiellement des années.
Deuxième étape : museler la parole
Une fois la peur ancrée, il faut neutraliser les espaces de résistance.
X, cet agora numérique, est la cible.
L’Arcom s’y prépare déjà, avec ses restrictions sur les sites pornographiques sous prétexte de contrôles d’âge – un exercice pour banaliser la censure.
À l’étranger, la Chine offre un précédent : le Grand Pare-feu bloque Twitter (aujourd’hui X) depuis 2009 pour étouffer les dissidences.
En France, interdire X sous couvert de « sécurité nationale » pourrait suivre.
Quand cela arrivera, la trame deviendra plus claire et vous commencerez à me prendre un peu moins pour un fou ou un complotiste.
Troisième étape : contrôler le récit
Sans X, il ne reste que les médias traditionnels.
Or, un fort pourcentage de la presse française soutient Macron – une concentration rappelant l’Italie de Berlusconi, où les médias alignés ont façonné l’opinion publique pendant des décennies.
Les voix dissidentes, comme CNews ou C8, risquent de disparaître sous un tour de passe-passe de l’Arcom, qui a déjà fermé C8 sous des motifs douteux.
Imaginez janvier 2027 : les journaux martèlent que Poutine menace d’appuyer sur le bouton rouge. La peur culmine. Quelques semaines avant le mois d’avril, l’article 16 est déclenché (je parierai sur Mars 2027, le mois du Dieu de la guerre, des combats et de la protection du sol...), juste avant les élections d’avril.
Macron s’installe durablement, sous une dictature masquée.
Un parallèle historique ? L’Allemagne de 1933, où le décret de l’incendie du Reichstag a suspendu les libertés sous prétexte d’urgence, ouvrant la voie à Hitler.
Un regard personnel, une alerte sincère
Ceci est mon analyse, née de mes convictions et de mon intuition.
Je m’étonne que si peu le discernent, surtout parmi les politiques, pourtant rompus aux jeux de pouvoir.
Mais je revendique ce droit – encore possible – de m’exprimer librement.
Si je me trompe, tant mieux : ce ne sera qu’un mal pour un bien.
Car si cette lecture, plus analytique que complotiste, s’avère juste, elle mènerait à une première mondiale : une dictature feutrée au sommet de la France, sous nos yeux incrédules.