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200 passagers infectés par le norovirus sur un bateau de luxe : un voyage de rêve tourne au cauchemar !

Insolite Santé Tourisme
Temps de lecture : 3 minutes

🚢Tragédie sur un bateau de luxe : 200 passagers infectés par le norovirus

La vérité sur ce qui se passe sur un bateau de luxe

En février dernier, une femme qui a passé une décennie sur un bateau de luxe a dévoilé des secrets que peu de gens connaissent.
En réalité, le quotidien dans ce genre d’embarcation n’est pas toujours tout rose.

Au contraire, les membres de l’équipage font souvent face à des problèmes assez graves !

Une des épreuves les plus dures : les épidémies

Une des épreuves les plus dures consiste à surmonter les cas d’épidémie.
Ils ont même vécu un véritable enfer lors de la pandémie du Covid-19.
Elle explique :

Rien n’est comparable au chaos du covid-19. Être membre d’équipage sur un bateau de croisière à cette époque, c’était comme vivre un cauchemar sans rivage en vue

Mais ce n’est pas la seule maladie qui sévit sur un bateau de croisière.

Le norovirus pose aussi un sérieux problème, puisqu’il se propage très rapidement.
Elle raconte :

Les urgences médicales à bord ne sont pas exactement un phénomène quotidien, mais elles ne sont pas rares non plus.

Un retour épuisant pour les passagers

Le Queen Mary 2 de la compagnie Cunard Line venait de faire escale à New York avant de retourner au Royaume-Uni.
Ses passagers avaient envie de se déconnecter de la réalité à bord de ce paquebot de luxe.
Mais sur le trajet retour, ils font face au pire, une épidémie de norovirus !

Le 18 mars dernier, le CDC ou Center for Disease Control, a reçu un appel à l’aide venant de l’équipage.
Sur le bateau, 224 passagers et 17 employés de la compagnie ont présenté des signes de la maladie.
Afin d’éviter une nouvelle propagation de l’infection, ils ont dû s’isoler des autres personnes !

Le norovirus, ce squatteur invisible qui te retourne les tripes

Le norovirus, c’est pas une grippe de bourge ni un caprice de touriste.
C’est un virus vicelard, un ninja microscopique qui adore les foules serrées – genre les bateaux de luxe où tout le monde se frôle.
Il te choppe par un verre mal lavé, une poignée de porte douteuse ou un buffet trop partagé, et bam : en 12 à 48 heures, t’es plié en deux.

Vomi, diarrhée, crampes qui te tordent, fièvre qui te fait suer – c’est le package complet.
Pas mortel, mais assez méchant pour transformer ton rêve de croisière en film d’horreur sans popcorn.
Et le pire ? Il se répand comme une rumeur sur X : vite, partout, sans pitié.

Une réaction rapide pour limiter les dégâts

Au micro du média LADbible, un des responsables du bateau déclare :

Nous avons eu un petit nombre d’invités à bord du Queen Mary 2 qui ont signalé des symptômes de maladie gastro-intestinale.

Grâce à la rapidité de leur réaction, ils ont pu préserver la santé des 2 133 autres passagers et des 1 215 membres de l’équipage.
Toujours d’après le responsable du bateau : « Nous continuons à surveiller de près les invités et, par mesure de précaution, nous avons procédé à un nettoyage en profondeur complet du navire et avons immédiatement activé nos protocoles de santé et de sécurité renforcés, qui s’avèrent efficaces ».

Un cas fréquent au sein des bateaux de luxe

Le Queen Mary 2 n’est pas le seul paquebot qui a fait face au norovirus.
La Seabourn Cruise Line a également signalé un cas similaire le 21 mars dernier.
Rien qu’en 2025, la CDC a recensé 12 épidémies de cette maladie sur des bateaux de luxe !

D’après le Pr Ashish Adja, un spécialiste en épidémies :

C’est une réalité inévitable dans les espaces clos comme les croisières.

Les responsables de chaque bateau doivent donc redoubler de vigilance s’ils veulent éviter les drames de ce genre.


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